<h4>​Le Demo Day 2025 de Future4care: une journée exceptionnelle au coeur de l'innovation en santé.</h4>Le jeudi 13 mars 2025, l'ensemble des acteurs de la Healthtech avaient rendez-vous chez Future4care pour un événement incontournable, véritable catalyseur d'innovation et de rencontres business. Rassemblant plus de 400 participants, l'événement a mis en lumière les 60 startups membres de l'écosystème, dont pour la première fois les 18 issues de notre dernier appel à candidatures international, venues du monde entier pour l'occasion.Les participants ont eu l'opportunité d'explorer un village d'exposition, facilitant des échanges fructueux entre startups, experts, industriels et investisseurs.Et pour cette édition 2025, l'intelligence artificielle était au cœur de tous les débats.Plongez au cœur de l'innovation en santé numérique et ressentez l'énergie qui a animé le Demo Day 2025 avec l'aftermovie !<div data-youtube-video=""><iframe width="440" height="248" allowfullscreen="true" autoplay="false" disablekbcontrols="false" enableiframeapi="false" endtime="0" ivloadpolicy="0" loop="false" modestbranding="false" origin="" playlist="" src="https://www.youtube.com/embed/94wMvsh9Vow" start="0"></iframe></div>

Demo Day 2025 : une journée dédiée à la création de nouvelles synergies 

Le 5 mars 2025, Future4care a eu le plaisir d'accueillir des collaboratrices et collaborateurs de Swiss Life France pour une Learning Expedition dédiée à la notion de responsabilité, co-organisée avec Deloitte.Les Learning Expeditions sont un atelier d’une demi-journée imaginé pour les entreprises pendant lesquelles les équipes peuvent échanger avec une délégation de start-ups sélectionnées par Future4care autour d’une thématique précise. C’est un format idéal pour engager ses équipes et insuffler une culture de l’innovation.Cette rencontre enrichissante a été marquée par trois moments qui ont mis en lumière l'importance d'une vision stratégique et d'un engagement concret pour un impact positif et durable, particulièrement clé dans le secteur de la santé : confidentialité des données, de l’équité d’accès aux soins et durabilité et de l’adoption des solutions technologiques.<h4>Future4care : Une Vision Commune pour Transformer les Systèmes de Santé</h4>Agnès de Leersnyder, CEO de Future4care, a ouvert la matinée en partageant l'historique du projet et la vision commune de nos quatre fondateurs : Sanofi, Orange, Capgemini et Generali. Cette vision repose sur l’ambition de ces grands groupes à faciliter l'adoption et l'usage éthique de l'intelligence artificielle et du numérique pour transformer nos systèmes de santé et répondre aux grands défis du secteur: l'accélération de la recherche de nouveaux traitement, le vieillissement de la population, l'augmentation des maladies chroniques, la tension des ressources hospitalières, le contexte géopolitique, etc.<h4>Témoignage à 2 voix : Collaboration Réussie entre Start-up et Grand Groupe</h4>Pierre Le Corre, CEO de Music Care, et Stéphanie Faure, responsable de projet innovation chez Generali, ont partagé leurs points de vues et retours d’expérience pour une collaboration réussie entre une start-up et un grand groupe. Les deux intéressés avaient en effet travaillé main dans la main dans le cadre d'une étude pilote ayant pour mission d'améliorer le bien-être des travailleurs : réduire le stress &amp; l'anxiété, les troubles du sommeil et la douleur. Les résultats ont démontré l'intérêt de déployer plus largement la solution au sein de Generali.<h4>Table ronde : Responsabilité et Impact de société innovante en santé</h4>3 entrepreneurs(e)s de l'écosystème Future4care ont ensuite partagé leurs expériences et perspectives sur la notion de responsabilité en tant que société au service de la santé. Leurs interventions ont mis en lumière des exemples concrets de la valeur et de l'impact apporté par leurs activités respectives.Amélie Litrowski, CEO et fondatrice de Doctoome, a abordé les problématiques liées à l'équité en santé et de l'accès aux soins. Doctoome a pour mission d'accompagner les patients et leurs proches tout au long de leur parcours de soins. Pour cela, Amélie a évoqué des collaborations de longue durée avec des grands groupes qui ont permis d'améliorer la qualité de prise en charge des patients, usagers et adhérents. Aujourd'hui, la plateforme Doctoome rassemble 1,5 millions de patients.Alain Habra, CEO et co-fondateur de Quantiq, a expliqué en quoi leur solution interopérable qui transforme n'importe quelle caméra en dispositif médical pour surveiller les constantes des patients est un atout pour une démarche de prévention en santé. A travers les nombreux partenariats avec des centres hospitaliers en France, Quantiq a permis de faciliter des études cliniques en intégrant des moyens de surveillance à distance. Alain a également souligné l'importance des valeurs communes des membres de son équipe.Gilles Litman, CEO de Remedee Labs, a quant à lui mis en avant l'importance de la prise en charge de la douleur chronique. En effet, Remedee propose une solution non médicamenteuse pour traiter les douleurs chroniques grâce à un bracelet émetteur d’ondes millimétriques. Gilles a pu décrire comment sa solution a amélioré considérablement la qualité de vie de nombreux utilisateurs, cliniquement éprouvée notamment pour les personnes souffrant de fibromyalgie et d'arthrose.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_00294_1_b00b77f8e9.png" alt="DSC00294 (1).png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_00301_4c8935052f.png" alt="DSC00301.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_00426_2_3ace563279.png" alt="DSC00426 (2).png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_00333_2_7a97dfc3d1.png" alt="DSC00333 (2).png" width="4240" height="2384">

Learning Expedition avec Swiss Life France : Une matinée d'inspiration dédiée à la responsabilité et l'éthique

Future4care a lancé en janvier la campagne January4data afin de mettre en avant la dimension incontournable que prennent les données de santé dans la chaine de valeur. A cet effet, nous avons sollicité l'expertise de membres de notre écosystème qui ont donné lieu à ces notes. Genèse de la data en santé, évolutions technologiques et d'usages, éthique et application dans le domaine hospitalier sont autant de thématiques abordées dans cette série d'articles.Les données de santé bien exploitées, et combinées à une intelligence artificielle rigoureuse et éthique, ont la capacité de mettre en œuvre la médecine de précision&nbsp;; un paradigme où le soin est adapté aux caractéristiques uniques de chaque individu.Avec Scienta Lab, nous souhaitons mener la même révolution dans la manière dont nous développons les médicaments, en particulier pour les maladies auto-immunes. Ces pathologies, qui touchent environ 10 % de la population mondiale, sont encore mal comprises et difficiles à prendre en charge.Une approche centrée sur la singularité des patientsLes maladies auto-immunes, comme le lupus, la polyarthrite rhumatoïde ou la maladie de Crohn, sont uniques dans leur présentation chez chaque patient.Ces pathologies chroniques et incurables ont un retentissement important dans la vie des patients atteints&nbsp;du fait de la destruction majeure et irréversibles des organes atteints qui entraine des symptômes handicapants, un risque de cancer accru et une surmortalité.Malheureusement, les traitements actuels peu efficaces sur une part significative des patients.Pourquoi ? Parce que les médicaments sont développés selon une approche standardisée qui ignore la diversité biologique des individus.Chez Scienta Lab, nous avons choisi de nous attaquer à ce défi et de permettre le développement de médicaments de précision pour les maladies auto-immunes. En utilisant les données comme guide. Nous utilisons des données de santé provenant de cellules, de modèles animaux, ou de patients pour entrainer notre modèle de fondation EVA, dédié à l’immunologie et l’inflammation. EVA acquiert ainsi une représentation du système immunitaire et de ses affections, qui est mise à profit pour le développement de médicaments personnalisés. Cette approche de médecine de précision est au cœur de ma vision d’une santé moderne et équitable.Exploiter les données pour accélérer les décisionsDans le domaine de l’intelligence artificielle, la principale difficulté est l’accessibilité des données. C’est un enjeu d’autant plus important dans le domaine de la santé. Chez Scienta Lab, nous avons développé un modèle d’IA spécifiques à ces contraintes, et capables d’extraire des informations pertinentes à partir de petits jeux de données de santé.En étudiant des jeux de données ciblés et en construisant des algorithmes adaptés, nous pouvons répondre à des questions complexes, telles que :<ul><li>Est-ce qu’un médicament sera efficace chez l’homme&nbsp;et pourquoi fonctionne-t-il chez certains patients mais pas chez d’autres ?</li><li>Quel candidat médicament présente la plus forte probabilité de franchir avec succès les essais cliniques&nbsp;?</li><li>Comment optimiser les essais cliniques pour maximiser l’efficacité du traitement et minimiser les coûts ?</li></ul>Des partenariats pour garantir la qualité des donnéesUn élément essentiel de notre succès réside dans nos partenariats stratégiques avec des hôpitaux et des centres de recherche internationaux. Ces collaborations nous permettent d’accéder à des données de santé de qualité et de garantir que nos modèles reflètent la diversité des patients atteints de maladies auto-immunes.Nous investissons également dans des audits et des validations régulières pour assurer la robustesse de nos algorithmes et garantir la sécurité des données personnelles.L’éthique des données comme prioritéL’Europe, avec des initiatives comme le RGPD ou l’AI Act, impose des standards élevés en matière de protection des données et de leur exploitation dans des algorithmes. Ces réglementations imposent des contraintes importantes sur l’innovation mais je pense qu’elles donnent un cadre éthique nécessaire pour garantir une utilisation bénéfique à tous des données de santé. Je pense également que ces réglementations créent des opportunités et une compétitivité pour les start-ups européennes en renforçant la confiance des patients et des partenaires, tout en positionnant l’Europe comme un modèle d’innovation éthique.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/Bouget_Vincent_072_1112_c9af16dbd7.jpg" alt="Bouget_Vincent_072-1112.jpg" width="1365" height="2048">

Note d’Expertise Vincent Bouget - Cofondateur et Directeur Scientifique de Scienta Lab

Paris, le 13 février 2025<h3>À l’occasion du Business Day de l’IA Action Summit qui s'est tenu mardi 11 février à Station F, France Biotech, France Deeptech et Future4Care, annoncent la signature d’une convention de partenariat stratégique.</h3>Lancée à l’initiative de David Del Bourgo, CEO et cofondateur de WhiteLab Genomics, cette action vise à structurer et développer la filière TechBio en France par la création d’une commission de travail dédiée. Cette nouvelle commission aura pour mission de favoriser les collaborations entre les acteurs de la TechBio, d’améliorer l’accès aux données de santé, essentielles pour ces entreprises innovantes et structurer la filière française de la TechBio.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/David_AROUS_5619_39bbbaa39a.jpg" alt="DavidAROUS-5619.jpg" width="2048" height="1365">Lors de la cérémonie de signature, Frédéric Girard, président de France Biotech, Michel de Lempdes, président de France Deeptech et Agnès De Leersnyder, CEO de Future4Care sont revenus sur les objectifs de cette initiative stratégique qui s’inscrit dans la continuité des travaux du groupe d’expertise “IA &amp; Biodiscovery” lancé en 2024 par France Biotech et plus largement sur les défis de ce secteur émergent.« L'IA offre une opportunité majeure pour accélérer la découverte et le développement de médicaments. En adoptant ces nouvelles technologies issues des sciences dures, les biotechs et entreprises pharmaceutiques peuvent accélérer et sécuriser leur R&amp;D au bénéfice des patients, tout en réduisant le coût, le risque et le délai des développements cliniques.», a déclaré Frédéric Girard, président de France Biotech soulignant l’importance de cette collaboration pour renforcer l’écosystème français et in fine la souveraineté de la France.Pour Michel de Lempdes, président de France Deeptech, « ce partenariat est une avancée essentielle pour structurer le développement de la TechBio en France. En réunissant les forces de l’IA et de la biotechnologie, nous créons un cadre propice à l’innovation, au bénéfice des patients et de la compétitivité de notre secteur. »De son côté, Agnès De Leersnyder, CEO de Future4Care précise : « Ce partenariat est une étape clé dans la structuration de ce marché en pleine expansion. Future4Care est heureux d’accompagner les entreprises TechBio à travers son accélérateur, en créant les conditions favorables à leur intégration dans l’industrie pharmaceutique ».Pour David Del Bourgo, CEO et co fondateur de WhiteLab Genomics, et cocoordinateur de cette nouvelle commission TechBio : « Cette commission a été créée pour structurer un écosystème économique dans un secteur encore méconnu mais extrêmement prometteur. Nous sommes pleinement engagés à accélérer le développement des sociétés TechBio, qui se distinguent par leur dynamisme en France et contribuent activement au rayonnement de l'innovation dans notre pays. ».<h4>La TechBio : une filière en plein essor </h4>La TechBio permet de mieux prédire les interactions médicaments-cibles, d'identifier des biomarqueurs, de développer des traitements personnalisés mieux adaptés aux patients. Cette filière, qui combine les avancées en biotechnologie et en intelligence artificielle, est en pleine expansion en France. Le groupe d’expertise « IA &amp; Biodiscovery » de France Biotech, en partenariat avec des entreprises telles qu’Adlin Science, Orakl Oncology et WhiteLab Genomics, a récemment cartographié les acteurs français de cette filière.Cette étude a permis de mieux comprendre les enjeux économiques et technologiques propres à ces sociétés, ainsi que leurs défis en matière de financement et d’accès au marché. Aujourd’hui, la filière regroupe une vingtaine d’entreprises françaises, majoritairement orientées vers le développement d’actifs propriétaires. Ces innovations nécessitent un accès privilégié aux données de santé, un enjeu stratégique pour renforcer leur compétitivité à l’international.<h4>Une collaboration pour façonner l’avenir de l’innovation en santé</h4>Grâce à cette commission de travail commune, France Biotech, France Deeptech, avec le soutien de Future4Care, entendent promouvoir les synergies entre startups, chercheurs, industriels et investisseurs, pour accélérer l’innovation au bénéfice des patients et de la souveraineté sanitaire européenne.A propos de France BiotechFrance Biotech, fondée en 1997, est une association indépendante qui fédère les entrepreneurs de l’innovation dans la santé et leurs partenaires experts. Animateur de l’écosystème de l’innovation en santé, fort de 2600 entreprises, et interlocuteur privilégié des pouvoirs publics en France et en Europe, France Biotech contribue à relever les défis du secteur HealthTech (le financement des entreprises, la fiscalité de l’innovation, les enjeux réglementaires et d’accès au marché, etc…) et à proposer des solutions concrètes, en termes de compétitivité et d’attractivité, par l’intermédiaire de ses commissions et ses groupes de travail. Ceci afin d’aider les start-ups et les PME de cette filière à devenir des entreprises internationales performantes et capables de concevoir et développer rapidement de nouvelles innovations et les rendre accessibles in fine aux patients France Biotech est hébergée au sein de PariSanté Campus. <a target="_blank" rel="" href="http://www.france-biotech.fr/">http://www.france-biotech.fr/</a> Contact presse : France Biotech // Florence Portejoie, FP2COM, <a target="_blank" rel="" href="mailto:fportejoie@fp2com.fr">fportejoie@fp2com.fr</a>, 06 07 76 82 83À propos de France DeeptechFrance Deeptech est une association créée en 2023, ouverte à̀ tous les acteurs de la deeptech dans une logique d’écosystème, de partenariat et de saine émulation créatrice. Elle s’est fixée pour objectif de rassembler et fédérer les différents acteurs de la deeptech française et européenne, en particulier les entrepreneurs, les investisseurs deeptech et les laboratoires de recherche afin de favoriser l’émergence et/ou la croissance rapide de projets entrepreneuriaux ambitieux et audacieux capables d’apporter une contribution décisive à la résolution d’enjeux majeurs contemporains et de maintenir la compétitivité et l’indépendance technologique française et européenne, gages de souveraineté et de liberté.A propos de Future4careFuture4care est un écosystème européen d’acteurs multidisciplinaires et dédié à la santé numérique. Joint-Venture fondée en 2021 par l’alliance de Capgemini, Generali, Orange et Sanofi, Future4care rassemble les acteurs de la E-santé (grands groupes, experts, professionnels de santé, startups, etc.) afin de créer des synergies et des opportunités qui permettront d’accélérer le progrès en santé numérique. Depuis son lancement, Future4care réunit sept partenaires industriels et institutionnels (Alira Health, Be-ys, Biocodex, Elior, Havas Life, TNP, UCB et la FEHAP) et des personnalités qualifiées du monde scientifique et académique au sein d’un Conseil Scientifique et Éthique.À propos de WhiteLab GenomicsWhiteLab Genomics, pionnière dans le développement accéléré de médecine génomique, se situe à la convergence des sciences informatiques et de la biologie. Fondée en 2019 et soutenue par YCombinator, elle s'impose comme un acteur clé de l'innovation en génomique. Sa plateforme fournit des simulations in silico pour découvrir et concevoir des thérapies optimisées. WhiteLab vise à accélérer le processus de développement de médicaments, réduire les coûts et accélérer la mise sur le marché de médecines génomiques. L’entreprise collabore avec des industries pharmaceutiques de premier plan telles que Sanofi, des institutions académiques et des sociétés de biotechnologie innovantes. WhiteLab Genomics fait partie du prestigieux programme French Tech 2030 soutenu par le gouvernement français et a récemment rejoint le Bayer Co.Lab à Cambridge, Massachussetts.

France Biotech, France Deeptech et Future4Care, s’associent pour accélérer le développement de la TechBio en France.

Dans ce nouvel épisode de notre série Future4care inside, nous avons recueilli le témoignage de Didier Cadic, Head of Innovation chez Generali France.L'occasion pour Didier de nous parler du lien entre Generali France et les startups de notre écosystème, et de nous partager sa vision de l'innovation. L'enjeu de Generali en tant qu'assureur sur la santé est notamment de faire de la prévention.<blockquote>"L'unicité de Future4care est la connexion entre ces acteurs avec des projets industriels qui voient le jour"</blockquote><div data-youtube-video=""><iframe width="440" height="248" allowfullscreen="true" autoplay="false" disablekbcontrols="false" enableiframeapi="false" endtime="0" ivloadpolicy="0" loop="false" modestbranding="false" origin="" playlist="" src="https://www.youtube.com/embed/yL2vwmeVUX0" start="0"></iframe></div>Encore merci à Didier Cadic pour cette interview !

Future4care Inside: Découvrez le témoignage de Didier Cadic, Head of Innovation chez Generali France

Future4care a lancé en janvier la campagne January4data afin de mettre en avant la dimension incontournable que prennent les données de santé dans la chaine de valeur. A cet effet, nous avons sollicité l'expertise de membres de notre écosystème qui ont donné lieu à ces notes. Genèse de la data en santé, évolutions technologiques et d'usages, éthique et application dans le domaine hospitalier sont autant de thématiques abordées dans cette série d'articles.Quelle est votre perspective sur l’usage des données de santé&nbsp;?Depuis plus de cinq décennies, j’ai été témoin et actrice des évolutions majeures dans le domaine des données en santé. Mes travaux ont toujours été animés par la conviction que des données de qualité sont essentielles pour la prise de décision et la recherche en général, en particulier celle sur les maladies rares, un domaine qu’Orphanet a puissamment contribué à faire émerger.Lorsque j'ai commencé ma carrière dans les années 1970, le paysage de la collecte et de l'organisation des données était épars et peu structuré, limité aux données d’enquêtes de recherche, faute de technologie accessible pour numériser les données de vie réelle. De plus il n’existait pas de standardisation des nomenclatures ce qui constituait un obstacle majeur à la recherche collaborative.L’émergence de l’informatique médicale dans les années 1980 a permis des progrès. Les dossiers médicaux sont codés par la CIM, la classification internationale des maladies de l’OMS. La CIM recensait une centaine de maladies au XIXᵉ siècle, plusieurs milliers aujourd’hui. Toutefois, les maladies génétiques et les maladies rares non génétiques étaient largement absentes de cette classification. &nbsp;La CIM 11 en usage actuellement n’en contient que 450.&nbsp; Orphanet a contribué à en introduire 4500 autres dans la CIM 12 adoptée par l’OMS, mais pas encore utilisée malheureusement car changer de version est couteux pour les acteurs publics.Parallèlement en 1966, Victor McKusick a proposé le catalogue Mendelian Inheritance in Man (OMIM) des gènes humains et des maladies génétiques, une nomenclature très utilisée en recherche, mais ne permettant pas de bien coder les maladies car certaines maladies sont causées par de multiples gènes et certains gènes peuvent être à l’origine de plusieurs maladies.Forte d’une longue expérience en épidémiologie génétique et en génétique médicale j’ai fondé Orphanet en 1997, une base de données relationnelle, exhaustive et polyhiérarchique qui prend en compte différentes perspectives et réconcilie les différentes nomenclatures existantes. Aujourd’hui, Orphanet répertorie plus de 11&nbsp;000 maladies rares et propose des classifications adaptées aux besoins spécifiques de la recherche, des soins, de la santé publique et de l’industrie pharmaceutique. Les codes Orpha permettent de coder les maladies avec un zoom arrière (grandes catégories utiles pour la gestion du système de santé) ou un zoom avant (niveau moléculaire indispensable pour la R&amp;D biomédicale).Quels sont les défis pour l’usage des données de santé&nbsp;?L’informatique médicale a mis longtemps avant d’être utilisée, faute de sensibilisation des médecins et des décideurs, mais surtout en raison de la lourdeur des équipements, du cout des technologies et du manque de convivialité des modes d’accès aux données.Les collections de données qui ont été constituées ont présenté des problèmes de qualité et d’interopérabilité des données. Les bases de données étaient disparates et mal structurées, limitant leur utilité. En parallèle, les contraintes imposées par les règlements nationaux et européens, bien que justifiées pour protéger les données personnelles nominatives, ont compliqué l’utilisation des données pour la recherche, alors que celles-ci sont toujours pseudonymisées. Est-il justifié de protéger à l’extrème de telles données alors que le risque de réidentification et extrêmement faible et le dommage potentiel causé de faible importance&nbsp;? Cette position, prévalente en Europe mais poussée à l’extrême en France, ralentit la recherche, ou même l’entrave, alors même qu’il s’agit de projets souhaitables pour la santé publique, l’amélioration des soin et l’innovation. Cela est préjudiciable à la recherche clinique en général, surtout à la recherche clinique industrielle.Un exemple emblématique concerne les données génétiques, souvent considérées comme indirectement identifiables, ce qui empêche leur numérisation systématique dans les dossiers médicaux, alors même que ce sont des informations clés pour le soin comme pour la recherche. Les médecins contournent ces restrictions en scannant les résultats papier dont ils ont besoin pour le soin, une pratique inefficace qui compromet à la fois l’utilité et la sécurité des données.Comment voyez-vous l’avenir des données en santéNous disposons aujourd’hui des outils technologiques et des infrastructures pour collecter et analyser des données de qualité, grâce à la construction des entrepôts de santé et à l’existence de cohortes, registres et bases données pour la recherche. Cependant, ce potentiel reste sous-exploité faute d’harmonisation réglementaire, d’investissements suffisants, de formation des opérateurs, et aussi en raison de résistance psychologique. Il faut protéger les données primaires de santé mais libérer raisonnablement les données secondaires pseudonymisées. Il n’y a aucune expérience connue de dommage collectif ou individuel issu de l’usage de données peudonymisées. En revanche, le bénéfice de l’utilisation de ces données peut être important pour la collectivité (ex. pertinence des soins, prévention des scandales sanitaires, évaluation des innovations) et pour l’individu (ex. développement de nouveaux traitements) et avoir des impacts sur les individus eux-mêmes. La balance bénéfice/risque est donc très en faveur des bénéfices. Reste à lever les freins pour aller vers un guichet unique. Il faut cesser de ne communiquer que sur les risques et non sur les bénéfices, alors que les citoyens bien informés sont en faveur de l’usage de leurs données pour la recherche. Un audit des entraves à la recherche dans le système actuel serait utile pour convaincre les réticents.L’espace européen des données de santé constitue une opportunité majeure pour nous e France car nous avons déjà structuré le nœud national recommandé. C’est le Health Data Hub.Ensemble, nous pouvons construire un avenir où les données serviront à sauver des vies et à améliorer la santé publique. Les citoyens sont largement en faveur de cette approche.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/image_17_63bea84501.png" alt="image (17).png" width="3839" height="2158">

Note d'expertise de Ségolène Aymé, généticienne médicale et référence mondiale pour les maladies rares, fondatrice d'Orphanet

Future4care a lancé en janvier la campagne January4data afin de mettre en avant la dimension incontournable que prennent les données de santé dans la chaine de valeur. A cet effet, nous avons sollicité l'expertise de membres de notre écosystème qui ont donné lieu à ces notes. Genèse de la data en santé, évolutions technologiques et d'usages, éthique et application dans le domaine hospitalier sont autant de thématiques abordées dans cette série d'articles.Je suis convaincu que l’hôpital en France remplit un rôle crucial, articulé autour de trois piliers fondamentaux : le soin, l’enseignement, et la recherche. C’est une mission complexe, et l’évolution rapide de la technologie, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), transforme profondément ces activités. Nous assistons aujourd’hui à une véritable explosion des données et des capacités technologiques, ouvrant des possibilités immenses mais posant aussi des questions d’interopérabilité, de qualité et de sécurité.L’intégration des données dans les structures hospitalières n’est pas nouvelle. Depuis plus de quinze ans, les biobanques et les bases de données associées ont joué un rôle prépondérant dans la recherche médicale. Pourtant, nous comprenons désormais que la simple accumulation de données biologiques, sans leur enrichissement par des informations contextuelles (imagerie, stratégies thérapeutiques, évolutions pathologiques), est insuffisante. La richesse d’une donnée réside dans sa qualité, sa granularité et son interconnexion. Il est évident que sans une structuration précise et un effort coordonné pour améliorer leur qualité, ces données ne peuvent pleinement répondre aux besoins de la santé moderne.Une évolution technologique sans précédentLes avancées en capacités de calcul et de stockage, notamment avec l’émergence de l’informatique quantique, bouleversent notre façon d’aborder l’exploitation des données. Cette évolution technologique permet de traiter des volumes massifs d’informations avec une précision et une rapidité accrues. Par exemple, les modèles d’IA modernes peuvent analyser en quelques secondes des données qui auraient pris des mois à traiter manuellement. Mais qu’importe la puissance de calcul si les données traitées sont incomplètes ou de mauvaise qualité ? Cette question illustre l’un des principaux défis auxquels nous faisons face : l’interopérabilité et la pertinence des données.Prenons l’exemple de l’imagerie médicale. La généralisation des IRM et des scanners, associée à des outils de capture toujours plus performants, a démocratisé l’accès à des volumes massifs de données. Pourtant, sans un processus rigoureux de labellisation, une image d’IRM ne peut qu’être partiellement exploitée. C’est l’expert humain qui doit, par exemple, identifier et délimiter une tumeur pour permettre à l’IA de séentraîner de manière précise. Cette étape cruciale, appelée labellisation, est souvent sous-estimée mais constitue le fondement de toute analyse fiable.Les capacités accrues de stockage permettent également de conserver une histoire complète des patients, y compris leurs données génomiques, leurs antécédents médicaux et leurs interactions avec différents traitements. Cela ouvre la voie à une personnalisation des soins sans précédent, mais uniquement si ces données sont exploitables et interconnectées entre différents systèmes de santé.Les enjeux liés à la qualité et à la sécurité des donnéesAu-delà de la simple acquisition, il existe des défis liés à la gestion et au traitement des données. Les biais dans les mécanismes d’acquisition, les artefacts, et les problèmes d’extrapolation peuvent altérer leur qualité. Prenons un exemple concret : les données issues d’un même patient peuvent varier selon les machines utilisées ou les protocoles appliqués, introduisant des différences susceptibles de biaiser les résultats d’analyse.De plus, les défis liés à l’interopérabilité entre différents systèmes hospitaliers restent majeurs. Par exemple, un même patient traité dans plusieurs établissements peut générer des données dispersées et difficilement corrélables. Ces lacunes entravent une vision globale et cohérente des soins prodigués.Un autre enjeu majeur est la sécurité des données. Dans une société oscillant entre confiance et défiance, il est primordial de trouver un équilibre. Trop de restrictions freinent l’accès aux données, même pour des objectifs nobles comme la recherche ou la politique publique. J’ai moi-même été confronté à cette complexité : les délais et les contraintes imposés par des systèmes tels que le CASD (Centre d’accès sécurisé aux données) sont souvent dissuasifs. Pourtant, ces restrictions ne préviennent pas toujours les fuites de données, souvent causées par des erreurs humaines banales.Par ailleurs, les exemples de fuites de données médicales rappellent l’importance de réévaluer nos systèmes. Certaines fuites récentes ont mis en lumière des failles dans la gestion des accès internes, soulignant la nécessité d’établir des protocoles de vérification et de responsabilisation renforcés.La place de l’éthique dans la gestion des données de santéL’éthique joue un rôle central dans notre approche des données de santé. Elle nous guide lorsque la loi est muette. Mais un excès de contrôle peut engendrer des effets contraires, alimentant le complotisme et freinant les projets. Nous devons nous interroger : ne pas exploiter pleinement les technologies disponibles pour améliorer la santé publique est-il éthique ?Le cadre éthique est aussi crucial pour réguler l’utilisation des IA dans les processus d’analyse. Prenons le cas des algorithmes d’apprentissage automatique : comment garantir qu’ils n’introduisent pas de biais systémiques ? L’éthique doit également régler les dilemmes liés à l’équilibre entre innovation et protection des données personnelles.ConclusionLes données sont au cœur de l’évolution de notre système de santé. Si nous voulons exploiter leur plein potentiel, nous devons rééquilibrer nos approches entre ouverture et protection, tout en veillant à maintenir une éthique forte. Il est temps de répondre aux défis organisationnels, technologiques, et éthiques pour bâtir un avenir où la santé est accessible, innovante et sécurisée.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/image_18_6adc797844.png" alt="image (18).png" width="1204" height="1953">

Note d’expertise Julien Rutard, Vice-Président, en charge du secteur santé (Capgemini Invent) - La donnée en milieu hospitalier

Nous sommes fiers d’annoncer notre partenariat avec France Silver Éco, un leader incontournable de la Silver Économie. Cette alliance stratégique marque un tournant décisif pour répondre aux défis liés au vieillissement de la population et imaginer de nouvelles solutions pour demain.Chez Future4care, nous sommes convaincus que les technologies numériques ont le pouvoir de transformer durablement la vie des personnes âgées et de leurs aidants. Grâce à cette collaboration, nous allons accélérer l’innovation et déployer des solutions concrètes pour construire un futur où bien-vieillir rime avec autonomie et dignité.Un immense merci à Luc Broussy, Mathieu Alapetite, Salma Briouel, Olivier Guérin, et à toutes les équipes qui ont contribué à concrétiser ce projet. Ensemble, nous posons les bases d’un avenir plus inclusif, innovant et solidaire.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_02505_aab28d3155.png" alt="DSC02505.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_02569_ca6d1a1d76.png" alt="DSC02569.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_02666_08df6c0467.png" alt="DSC02666.png" width="4240" height="2384">

Future4care et France Silver Éco s’engagent ensemble pour révolutionner le bien-vieillir

Le 7 novembre, Future4care a eu le plaisir d'accueillir l'équipe Global Patient Affairs d'Ipsen pour un atelier dédié aux approches centrées sur le patient. Cet événement a mis en avant l'importance de placer les patients au cœur des progrès médicaux et de renforcer la voix de la communauté des patients tout au long du développement clinique et au-delà.&nbsp;L'importance de l'approche centrée sur le patientTraditionnellement, les patients avaient peu d’influence dans la prise de décision médicale. Cependant, l’évolution du secteur de l’industrie pharmaceutique a fait émerger l’approche centrée sur le patient, devenue fondamentale dans le développement clinique et des soins aux patients. Ce changement souligne l'importance de prendre en compte les besoins, les expériences et les perspectives des patients à chaque étape du développement d'un médicament, de la recherche jusqu’aux interactions post-commercialisation. En adaptant les traitements en fonction des problématiques réelles des patients, ces approches centrées sur le patient génèrent de meilleurs résultats cliniques, améliorent leur satisfaction et augmentent la confiance entre les patients et&nbsp;les professionnels de santé.Vers une approche médicale plus inclusiveL’inclusivité signifie que les traitements peuvent répondre aux besoins spécifiques et diverses des différentes communautés de patients. En écoutant activement les expériences uniques de chaque patient, les laboratoires pharmaceutiques peuvent concevoir des thérapies plus accessibles et plus pertinentes pour différentes populations. Une approche plus inclusive permet de réduire les écarts en matière d'accès aux soins, de littératie et de compréhension, et garantit que les avancées médicales bénéficient au plus grand nombre. Cette démarche est essentielle pour bâtir un système de santé qui répond aux besoins de tous les patients, quels que soient leur origine, leur lieu de résidence ou leur situation.Le rôle de Future4care en faveur de l’innovationChez Future4care, nous pensons que la collaboration est la clé de l'innovation, et cet atelier avec l'équipe Global Patient Affairs d'Ipsen en est un exemple concret. En tant que hub dédié à la santé et aux nouvelles technologies, Future4care rassemble des industriels, des startups et des instituts de recherche pour co-créer des solutions qui répondent aux défis les plus urgents de nos systèmes de soins. Nous sommes fiers de soutenir nos partenaires dans le développement d'un écosystème qui met en lumière la voix des patients, renforce la collaboration et favorise l’inclusivité.Rejoignez-nous dans notre mission pour redéfinir le futur de notre système de santé, grâce à des innovations centrées sur le patient !<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09854_524e58fb06.png" alt="DSC09854.png" width="4035" height="2384">

Atelier avec l’équipe Global Patient Affairs d’Ipsen : Favoriser les approches centrées sur le patient dans les essais cliniques et au-delà

Transition démographique et transition écologique : deux défis incontournables pour notre sociétéDans les 30 prochaines années, notre société devra relever deux défis majeurs&nbsp;:🌍 La transition climatique, énergétique et environnementale est un enjeu désormais omniprésent dans l'actualité. Réchauffement climatique, perte de biodiversité, épuisement des ressources naturelles... autant de problématiques qui appellent des actions urgentes et coordonnées à l’échelle mondiale. Nous voyons déjà les effets de ces changements, et le besoin d'adaptation et d'innovation est plus fort que jamais.👵 La transition démographique est un défi tout aussi crucial, bien que souvent moins visible. Le vieillissement rapide de la population entraîne une hausse exponentielle de la demande en soins et en services de santé, tout en accentuant la pression sur des systèmes déjà fragiles. Nos sociétés doivent anticiper cette évolution pour garantir une prise en charge de qualité tout en préservant l'autonomie des individus.L'impact du vieillissement sur notre système de santé : l'analyse du Pr. Olivier GuérinLe Professeur Olivier Guérin, PU-PH et chef du pôle Réhabilitation Autonomie Vieillissement au CHU de Nice, président du Collège National des Professeurs de Gériatrie, et Vice-président de Future4care, souligne les défis que pose le vieillissement de la population pour notre système de santé. Selon lui, l’augmentation de l’espérance de vie, couplée aux maladies chroniques qui accompagnent souvent le vieillissement, crée un fossé croissant entre les besoins en soins et notre capacité à y répondre.Pour relever ce défi, deux axes prioritaires se dessinent :📋 La prévention : En matière de santé, anticiper est devenu essentiel. Alors que notre capacité à répondre aux besoins de soins est de plus en plus incertaine, il est impératif de favoriser des pratiques préventives, d’encourager un mode de vie sain, et d'identifier les risques à un stade précoce pour réduire la demande en soins intensifs. La prévention permettra de limiter la pression sur les infrastructures de santé et de garantir une meilleure qualité de vie aux individus.🚀 Les solutions digitales en santé : L'innovation technologique devient indispensable pour combler les lacunes de notre système de santé. Les technologies de pointe, telles que l'intelligence artificielle, la robotique, et les plateformes de téléconsultation, peuvent pallier la pénurie de soignants, améliorer l’efficacité des services et offrir une prise en charge plus personnalisée. Ces outils permettent également de suivre les patients à distance, de réduire les déplacements et d'offrir un soutien continu aux populations vieillissantes.L'engagement de Future4care pour l'avenir des soinsChez Future4care, nous sommes convaincus que l'innovation en santé digitale peut transformer positivement notre société et répondre aux défis de la transition démographique. Notre mission est de développer des solutions concrètes et adaptées aux besoins de demain.<div data-youtube-video=""><iframe width="440" height="248" allowfullscreen="true" autoplay="false" disablekbcontrols="false" enableiframeapi="false" endtime="0" ivloadpolicy="0" loop="false" modestbranding="false" origin="" playlist="" src="https://www.youtube.com/embed/wlI_mODBDD8" start="0"></iframe></div>

Le Bien Vieillir, avec Olivier Guérin

Le 14 octobre, Clarissa Guengant a eu l'honneur et le plaisir d'accueillir le Ministre de la Santé du Yemen, Dr. Qasem Buhaibeh, ainsi que Georges-Fabrice Blum, Fédérateur santé adjoint à l'export ainsi que la French Healthcare Association et une délégation de entreprises françaises pour discuter de la prise en charge des patients en zones de conflit 🦺, avec l'exploration de solutions innovantes portées par des entreprises françaises pour améliorer l'accès aux soins.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/ministre_yemen_a47ecf1875.PNG" alt="ministre yemen.PNG" width="850" height="440">

Visite du Ministre de la Santé du Yemen 

Ravis de partager ce témoignagne de Kwame Amaning, de SanofiKwame Amaning, Digital Innovation &amp; External Ecosystem Lead at Sanofi, partage ici ce que cela signifie réellement que de faire partie de l'ecosystème Future4care, le pouvoir de la collaboration de l'innovation, et l'objectif commun de développer des solutions de santé pour tous.Merci Kwame, pour tes gentilles paroles, et d'être un élément clef de cette aventure ! <div data-youtube-video=""><iframe width="440" height="248" allowfullscreen="true" autoplay="false" disablekbcontrols="false" enableiframeapi="false" endtime="0" ivloadpolicy="0" loop="false" modestbranding="false" origin="" playlist="" src="https://www.youtube.com/embed/7pJA487qdUs?si=vK6RXTOoKPyrUPjc" start="0"></iframe></div>

Témoignage de Kwame Amaning de Sanofi

“Investir dans le numérique c’est investir pour la santé de chacun. Le coût de l’inaction en santé est le pire coût à payer, et plus on attendra, plus il sera élevé, tant en vies qu'en opportunités d'innovation manquées. »Dans une tribune publiée le 24 septembre 2024 dans Les Échos, notre Directrice Générale Agnès De Leersnyder appelle à intégrer d’urgence le numérique dans notre système de santé. Malgré ses immenses potentialités, le numérique est encore sous-exploité dans le secteur, alors qu'il représente un levier crucial pour accélérer le développement de nouveaux traitements, optimiser le temps des soignants, personnaliser les soins ou encore pour soutenir les aidants. Nous vous invitons à découvrir l'intégralité de la tribune ci-jointe.

Tribune dans les Echos: “Santé: l’urgence du numérique” 

Le 25 septembre 2024, Future4care a organisé un cocktail “Meet &amp; Greet” pour marquer la rentrée de l’écosystème @Future4care, à travers des rencontres informelles avec les membres de notre Conseil Scientifique et Éthique (CSE), présidé par le Pr. Olivier Guérin.&nbsp;Ce fut une véritable opportunité d’échanges entre les membres du CSE, nos fondateurs, nos partenaires, ainsi que les CEOs des startups de l'écosystème Future4care.&nbsp; Des discussions passionnantes ont eu lieu sur les défis éthiques liés aux technologies émergentes, la gestion des données sensibles, et l’impact de l'innovation sur le système de santé.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/1_1a722703ed.png" alt="1.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/4_6564705647.png" alt="4.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/5_546865cad3.png" alt="5.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/3_62d380d083.png" alt="3.png" width="3814" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/2_b895485799.png" alt="2.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/6_7192e41471.png" alt="6.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/7_e27253a6d9.png" alt="7.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/8_e34957c75d.png" alt="8.png" width="4240" height="2384">

Meet & Greet: Cocktail de Rentrée avec le Comité Scientifique & Ethique de Future4care

Le 25 septembre 2024, le groupe BeYs, un des partenaires historiques de Future4Care a présenté son reverse pitch à l'écosystème Future4Care. Pionnier dans la confiance numérique et la gestion des données sensibles, BeYs vise à révolutionner la gestion des données de santé avec des solutions sécurisées et éthiques.Leur objectif : démocratiser le wallet d'identité pour permettre à chacun de contrôler et protéger ses informations personnelles, que ce soit pour le partage de données de santé, l'accès à des services ou des transactions. Ce modèle promet de renforcer la confiance et la transparence dans les échanges numériques, tout en respectant les règlementations.BeYs met à disposition un écosystème numérique sécurisé, accessible et souverain, tout en créant de nouvelles opportunités pour l'innovation. Des cas d’usage Data Annotation et IA en santé ont également pu être partagé : chatbot pour le triage de patients, NLP pour l’analyse de textes médicaux / l’extraction d’information de rapport d’analyse médicale, annotation d’expressions faciales pour la télésurveillance, etc.Un grand merci à l’équipe BeYs pour leur confiance et leur engagement. Ensemble, nous sommes impatients de façonner la santé de demain avec des solutions basées sur la sécurité et la protection des données sensibles, tout en rendant les technologies de santé plus accessibles à tous.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_03794_d3236e5d04.png" alt="DSC03794.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_03891_dc32719b0f.png" alt="DSC03891.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_03759_da991ec6b1.png" alt="DSC03759.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_03819_48be0ec12f.png" alt="DSC03819.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_03845_bd1b7671cf.png" alt="DSC03845.png" width="4240" height="2384">

Reverse Pitch Be-Ys à Future4care

Nous sommes ravis d'accueillir de nouvelles pépites chez Future4care! Nous avons le plaisir de voir notre programme d'accélération s'enrichir de nouvelles startups prometteuses, qui apportent chacune leur touche unique à l'innovation en santé numérique. Découvrez les derniers talents qui ont rejoint notre aventure: ADLIN Science accompagne les chercheurs avec une plateforme collaborative pour structurer et valoriser leurs données scientifiques, favorisant ainsi le développement de la médecine de précision. AXELIFE révolutionne la prévention cardiovasculaire grâce à son dispositif pOpmètre®, permettant de mesurer la rigidité artérielle de manière simple et non invasive. Biolevate utilise l'IA générative pour accélérer la rédaction médicale et améliorer la gestion des connaissances dans le secteur pharmaceutique. BOYDSense réinvente la gestion du diabète avec un dispositif non-invasif qui mesure la glycémie par l'haleine, offrant un suivi plus simple et accessible. GMT Science propose une analyse robuste du microbiome pour améliorer la gestion des maladies chroniques grâce à des algorithmes basés sur l'IA. Hometrix Health avec son projet AITIO, offre un compagnon digital pour les patients atteints de maladies longues, leur apportant motivation et informations validées via une application intuitive. SeqOne Genomics démocratise l'accès à la médecine personnalisée grâce à sa plateforme de séquençage génétique, permettant aux laboratoires d'offrir des diagnostics de précision à grande échelle. C’est avec enthousiasme que nous accueillons ces nouvelles startups dans notre écosystème, nous sommes impatients de collaborer avec elles et de les soutenir dans leur croissance!

New Start-Ups

Ce 20 Septembre 2024, ThIA Santé Mental a tenu dans les locaux de Future4care, en présence des équipes de Generali, des tables rondes d’experts pour échanger sur l’innovation en santé mentale. Psychologues, psychiatres, chercheurs, représentants du ministère de la Santé, de la Caisse nationale de l’Assurance Maladie mais aussi groupement de clinique, industriels, assureurs, financeurs et fonds d’investissement se sont réunis pour partager leur vision et conjuguer leurs efforts.&nbsp;&nbsp;Leur objectif ? Transformer les pratiques et les outils de soins pour les 13 millions de Français touchés chaque année par des troubles psychiques.&nbsp;L’initiative Time 4 Mental Care vise à rassembler ces acteurs autour de cet enjeu sociétal crucial.&nbsp;L’année à venir s'annonce pleine de défis, et nous sommes déterminés à construire ensemble un futur où les patients seront au cœur de notre approche.&nbsp;&nbsp;Notre ambition : soigner plus rapidement, mieux, et de manière durable grâce à la technologie au service de l’humain.&nbsp;

Time4MentalCare, by Thia Santé Mentale 

Félicitations à Remedee Labs !&nbsp;Nous sommes fiers de voir l'une de nos startups, <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW3668961 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/remedeelabs/">Remedee Labs</a>, franchir une étape majeure avec l'obtention du marquage CE pour son bracelet stimulateur d’endorphines, la première solution médicale en Europe dédiée au traitement de la fibromyalgie.&nbsp;Une avancée historique pour les millions de personnes touchées par cette maladie, jusqu'alors sans traitement spécifique. Nous sommes impatients de suivre la suite de cette belle aventure, avec un lancement prévu en 2025 et des démarches en cours pour rendre cette solution accessible au plus grand nombre.&nbsp;

Remedee Labs – obtention marquage CE pour bracelet stimulateur d’endorphines 

Le 19 septembre 2024, notre Directrice Générale Agnès De Leersnyder a été invitée à participer à l'événement "Healthtech : Les innovations mondiales" organisé par <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/frenchfounders/">Frenchfounders</a>, aux côtés de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/jeremie-weber/">Jérémie Weber</a> de l’<a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/institutcurie/">Institut Curie</a> et <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/antonin-morillon-16b43b59/">Antonin Morillon</a> de Cereus Biosciences.&nbsp; L'innovation en santé est plus dynamique que jamais et se positionne comme un levier essentiel pour transformer en profondeur notre système de santé ! Chez <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/future4care/">Future4Care</a>, nous sommes convaincus que le numérique est la clé pour débloquer d'innombrables opportunités, notamment pour :&nbsp;Accélérer la recherche et développement de nouveaux traitements et médicaments,&nbsp; Améliorer les outils de diagnostic avec des analyses plus rapides et précises,&nbsp; Personnaliser les soins et traitements, en développant des thérapies sur-mesure pour chaque patient,&nbsp;Optimiser le temps médical des soignants en automatisant les tâches administratives et répétitives,&nbsp;Mieux accompagner les aidants et les proches, grâce à des outils de suivi et de gestion adaptés.&nbsp;Un grand merci à <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/melanie-perrin-2508/">Mélanie Perrin</a> toute l’équipe de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW259938164 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/frenchfounders/">Frenchfounders</a> pour cette belle invitation, qui a aussi été l’opportunité de rencontrer des dirigeants francophones venus des quatre coins du monde. Ces moments d’échange sont indispensables pour construire ensemble l’avenir de la santé, en alliant innovation, collaboration et impact.&nbsp;

Healthtech: Les innovations mondiales - participation d'Agnès De Leersnyder

Cette semaine <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/future4care/">Future4Care</a> a eu l'immense plaisir d'accueillir les collaborateurs de la <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/bpce-solutions-informatiques/">BPCE Solutions informatiques</a>, venus s’inspirer et partager leur vision dans un cadre où nos deux secteurs, santé et finance, se croisent naturellement. Un moment fort durant lequel&nbsp;&nbsp; <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/clairepatouillet/">Claire Patouillet, MBA</a> a interviewé en toute convivialité cinq CEO de startups spécialisées en santé numérique issues de l'écosystème de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/future4care/">Future4Care</a>, chacun apportant sa contribution unique à la transformation de notre système de santé.&nbsp;&nbsp;<a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/ritterdaniel/">Daniel Ritter</a> de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/better-world-collective-intelligence/">Better World - Collective Intelligence</a> a parlé de l'importance d’écouter les patients et les professionnels de santé pour transformer leurs retours en informations exploitables.&nbsp; <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/amelie-litrowski-2337652/">Amelie Litrowski</a> de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/doctoome/">Doctoome</a> révolutionne la prescription et les parcours de soins personnalisés.&nbsp; <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/julien-delpech-entrepreneur-healthcare-invivox/">Julien Delpech</a> d'<a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/invivox/">INVIVOX</a> a partagé sa vision de démocratiser l'accès aux connaissances pour améliorer la qualité des soins.&nbsp;<a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/pierremlecorre/">Pierre Le Corre</a> de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/music-care/">Music Care</a> a dévoilé comment des « algorithmes musicaux » sont utilisés pour réduire la douleur et l’anxiété des patients.&nbsp;<a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/lionel-guerin-978b031/">Lionel GUERIN</a> de <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW48193390 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/scienceone/">ScienceOne</a> a présenté leur approche avant-gardiste de l'automatisation de la veille scientifique.&nbsp;&nbsp;Aujourd'hui plus que jamais, l'innovation et la collaboration sont les moteurs de la transformation du paysage de la santé. Ensemble, nous continuons d'explorer comment ces leaders conçoivent et exécutent leur vision stratégique, comment ils abordent l'innovation, et comment ils imaginent l'avenir de la santé.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09355_1_89face62d1.jpeg" alt="DSC09355 (1).jpeg" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_01773_c3e722640f.png" alt="DSC01773.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_01783_368204f6c7.png" alt="DSC01783.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09603_ee698650a1.png" alt="DSC09603.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09578_6cee226422.png" alt="DSC09578.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09509_4a354a4822.png" alt="DSC09509.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09624_794e63752f.png" alt="DSC09624.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_01744_c2c153d731.png" alt="DSC01744.png" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09459_b7d8e3ec9d.png" alt="DSC09459.png" width="4240" height="2384">

Learning Expedition - Programme UP by BPCE

Le 29 août dernier, l'Académie de Future4care a eu le privilège d'organiser un Boot Camp centré sur la stratégie de Go-to-Market en santé numérique, et nous sommes ravis de vous partager les temps forts de cette journée !&nbsp;&nbsp;Ce <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/feed/hashtag/?keywords=bootcamp&amp;highlightedUpdateUrns=urn%3Ali%3Aactivity%3A7241780054710497282">#BootCamp</a> a été un véritable succès grâce à la collaboration de tous les participants et experts intervenants!&nbsp;&nbsp;Une solution numérique en santé ne peut profiter au plus grand nombre que si elle a une stratégie de Go-to-Market pensée dès la phase de concept. Et c’est un des objectifs de l’académie de Future4Care: travailler sur des cas concrets pour permettre aux industriels de son écosystème de faire passer à l’échelle les innovations en santé.&nbsp;Chacun est reparti avec un livret, des exercices et des fiches action stratégiques pour questionner leurs propres projets d’innovation.&nbsp;Ce type de rassemblement est au cœur de l'ADN de l'Académie de Future4care, car il favorise l'innovation collaborative, accélère le développement de solutions concrètes en santé digitale, et renforce les synergies entre les nombreux acteurs de la chaîne de valeur de la santé numérique représentés au sein de l'Académie, et toujours, avec les conseils et témoignages de nos précieux experts. Merci à <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/norman-bodet-77828840/">Norman Bodet</a> <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/nextep-health/">Nextep Health</a>, <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/christophe-brun-9771b719/">Christophe Brun</a> <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/betterisehealthtech/">Betterise Health Tech</a>, <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/nicolas-na%C3%AFditch/">Nicolas Naïditch, Ph.D</a> <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/expectpatient/">ExpectPatient</a>, <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/sarah-amrani-28bb98195/">Sarah Amrani</a> <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/company/ethik-ia/">Ethik IA</a>.&nbsp;N’hésitez pas à contacter <a target="_blank" rel="" class="Hyperlink SCXW42915236 BCX0" href="https://www.linkedin.com/in/clairepatouillet/">Claire Patouillet, MBA</a> pour échanger sur les sujets abordés lors de l’événement, ou pour des thématiques que vous aimeriez que nous portions ensemble.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09355_1_89face62d1.jpeg" alt="DSC09355 (1).jpeg" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09385_1_94bb8c2579.jpeg" alt="DSC09385 (1).jpeg" width="4240" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/IMG_1273_82c4c62188.jpg" alt="IMG_1273.jpg" width="306" height="470"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/DSC_09413_1_53cac61222.jpeg" alt="DSC09413 (1).jpeg" width="2566" height="2384"><img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/IMG_1280_82ecb63b3e.jpg" alt="IMG_1280.jpg" width="521" height="480">

Boot Camp sur la stratégie Go-to-Market en santé numérique

Future4care annonce aujourd’hui la signature d’un nouveau partenariat stratégique avec TNP Consultants, cabinet de conseil européen spécialisé dans les transformations stratégiques, opérationnelles, digitales et réglementaires des entreprises.Grâce à ce partenariat, TNP collaborera avec les partenaires déjà existants (Havas Life Paris, Beys, IQVIA, Biocodex, UCB, Alira Health, FEHAP) dans le déploiement de solutions digitales novatrices au service de la santé. Dans le cadre de la relation privilégiée avec les startups de Future4care, pionnières dans le domaine de l’intelligence artificielle et de la santé digitale, TNP Consultants contribuera également dans l’exploration de modèles économiques de demain, notamment en matière de prévention et d'économie du vieillissement.<blockquote> « Nous nous réjouissons d’accueillir TNP Consultants au sein de notre écosystème. Ce nouveau partenariat s’inscrit pleinement dans notre volonté de réunir le plus grand nombre d’acteurs de qualité pour accélérer collectivement le progrès en santé numérique en Europe, en faisant émerger des leaders mondiaux en santé numérique grâce à l'idéation, la collaboration et plus largement l'innovation » Agnès De Leersnyder, CEO de Future4care</blockquote>Benoit Ranini, président de TNP, déclare « Nous sommes ravis de formaliser ce partenariat avec Future4care, l'écosystème européen pour la santé numérique, né de la collaboration entre plusieurs entreprises internationales. Ce partenariat vise à intégrer TNP dans le domaine de l'innovation en santé digitale et à souligner notre engagement constant envers le progrès technologique. Grâce à cette alliance, TNP participera à des programmes de formation spécialisés, contribuera à des événements d'importance et travaillera conjointement avec les startups de l'accelérateur pour contribuer au développement de la santé numérique, en France, en Europe et à l’international ». A propos de Future4careFuture4care est un écosystème européen d’acteurs multidisciplinaires et dédié à la santé numérique. Joint-Venture fondée en 2021 par l’alliance de Capgemini, Generali, Orange et Sanofi , Future4care rassemble les acteurs de la E-santé (grands groupes, experts, professionnels de santé, startups, etc.) afin de créer des synergies et des opportunités qui permettront d’accélérer le progrès en santé numérique. Depuis son lancement, Future4care réunit sept partenaires industriels et institutionnels (Alira Health, Be-ys, Biocodex, Havas Life, IQVIA, UCB et la FEHAP) et des personnalités qualifiées du monde scientifique et académique au sein d’un Conseil Scientifique et Ethique. . A propos de TNP ConsultantsCréé en 2007, TNP Consultants est un cabinet de conseil européen spécialisé dans les transformations stratégiques, opérationnelles, digitales et réglementaires des entreprises.TNP intervient sur les dimensions de stratégie opérationnelle, systèmes d’information, métier et capital humain, dans les secteurs de la banque, de l’assurance, du transport, de l’énergie et de l’automobile et du secteur public. TNP a fait de l’accélération de la performance de ses clients son ADN.Ses équipes sont aujourd’hui présentes dans trois zones géographiques : Europe continentale (France, Luxembourg, Italie, Suisse, Allemagne, Monaco), Afrique (Maroc, Tunisie, Côte d’Ivoire), Asie et Moyen-Orient (Inde, Émirats Arabes Unis).

Future4care et TNP consultants annoncent la signature d’un partenariat

Fruits de l’action conjointe de Future4care, écosystème européen dédié à la santé numérique, Foundation S-The Sanofi Collective et CentraleSupélec 21st, les Trophées Serge Weinberg ont vocation à récompenser les solutions numériques les plus novatrices et impactantes répondant à l’approche de santé intégrée « One Health ». Les candidatures pour cette première édition sont ouvertes depuis le 29 mars et ce jusqu’au samedi 27 avril.Publié le 03 avril 2024 à 09h48Face à un contexte complexe de transition démographique et de changement climatique caractérisé par de multiples crises sanitaires et environnementales, il devient impératif d'adopter une vision intégrée de la santé.Le concept de « One Health » ou « Une Seule Santé » préconise une approche intégrée de la santé qui englobe la santé humaine, environnementale et animale.À cet égard, l'utilisation des nouvelles technologies se révèle particulièrement pertinente pour sensibiliser et relever les défis de la santé environnementale, permettant ainsi la préservation de la biodiversité et l'amélioration de la santé des individus et des populations.C’est pour promouvoir et encourager les projets à impact dans ce domaine qu’ont été créés les Trophées Serge Weinberg.A l’issue du processus de sélection, trois prix seront décernés :<ul><li>Le Trophée d’Or doté de 30 000€,</li><li>Le Trophée d’Argent doté de 20 000€,</li><li>Le Prix du jury doté d’un an d’accompagnement du projet par Future4care.</li></ul>Les porteurs d’un projet peuvent candidater jusqu’au 27 avril en envoyant leur dossier de candidature à l’adresse <a target="_blank" rel="" href="mailto:tropheesergeweinberg@future4care.com">tropheesergeweinberg@future4care.com</a>.Le jury annoncera les 8 finalistes le 17 mai prochain et remettra les prix aux trois lauréats le jeudi 27 juin chez Future4care.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/Logo_with_trophee_S_W_et_fond_b4fef149bc.png" alt="Logo with trophée S. W et fond.png" width="4000" height="4000"><h4>Le jury des Trophées Serge Weinberg</h4>Jury présidé par Mme Chrysoula Zacharopoulou, Secrétaire d’État chargée du développement, de la francophonie et des partenariats internationaux pour la FranceAbdelaali Elbadaoui - Entrepreneur Social | Fondateur « Banlieues Santé » , « Banlieues School » , « Banlieues Climat » et du « Café des Femmes », FranceJohanna Mair – Professeur à l’université Stanford| Centre sur la Philanthropie et la Société Civile, USAKirsten Dunlop - CEO Climate KIC, European Innovation Institute, Royaume-Uni et Pays-BasJohn Dutton - Dirceteur UpLink et Membre du Comité Executif , The World Economic Forum, SuisseRafaèle Tordjman - Fondatrice et présidente du Fonds d'investissement Jeito Capital, FranceYassine Laghzioui – Directeur Général UM6P Ventures, University Mohammed VI Polytechnic, MarocStéphanie Hajjar - Directrice de l’Entrepreneuriat et de l’innovation à CentraleSupelec, FranceVanina Laurent-Ledru - Directrice Générale de Foundation S – The Sanofi Collective, FranceAgnès de Leersnyder - Directrice Générale Future4care, FranceA propos de Future4CareFuture4care est un écosystème européen d’acteurs multidisciplinaires dédié à la santé numérique. Joint-Venture fondée en 2021 par l’alliance de Capgemini, Generali, Orange et Sanofi , Future4care rassemble les acteurs de la E-santé (grands groupes, experts, professionnels de santé, startups, etc.) afin de les faire dialoguer et de créer des synergies et des opportunités qui permettront d’accélérer le progrès en santé numérique. Depuis son lancement, Future4care a été rejoint par six partenaires industriels ( Alira Health, Be-ys, Biocodex, Havas Health &amp; You, IQVIA et UCB ). Les travaux de Future4care sont guidés par un Conseil Scientifique et Ethique.A propos de Foundation S-The Sanofi CollectiveL’organisation philanthropique portée par Sanofi, œuvre depuis mai 2022 dans quatre domaines : la lutte contre le cancer de l’enfant, un engagement historique de Sanofi, l’aide humanitaire d’urgence, l’éradication des maladies tropicales et enfin, un tout nouveau champ d’action et LE grand défi sanitaire actuel, l’impact du réchauffement climatique sur la santé. Pour agir efficacement dans ces 4 domaines, Foundation S – dirigée par Vanina Laurent-Ledru et présidée par Frédéric Oudéa- adopte une méthodologie fondée sur l’articulation entre le global et le local et encourage l’action collective travers diverses formes de partenariats, la mobilisation des meilleurs d’experts, un think &amp; do tank…A propos de 21st by CentraleSupélecAccélérateur d'impact, 21st by CentraleSupélec accompagne les étudiants, chercheurs ou entrepreneurs, dans le développement d'innovations de rupture et de startups deeptech, de l’idéation au passage à l'échelle. Inscrit dans l’ADN entrepreneurial de CentraleSupélec, établissement à l’origine de nombreuses success stories en France et à l’international, 21st by CentraleSupélec accompagne chaque année une centaine de projets/startups à fort impact environnemental et sociétal, à travers trois domaines d'innovation : Climate &amp; Biodiversity, Health &amp; Care, Future of business. <a target="_blank" rel="" href="https://21st.centralesupelec.com/">https://21st.centralesupelec.com/</a>A propos de CentraleSupélecÉcole leader dans l’enseignement supérieur et la recherche, CentraleSupélec se compose de 4 campus en France (Paris-Saclay, Metz, Rennes et Reims). Elle compte plus de 5 000 étudiants, dont 3 800 élèves ingénieurs, 400 enseignants-chercheurs et 18 laboratoires ou équipes de recherche. CentraleSupélec constitue un pôle de référence dans le domaine des sciences de l’ingénierie et des systèmes, classée parmi les meilleures institutions mondiales. Fortement internationalisée (25 % de ses étudiants et près d’un quart de son corps enseignant sont internationaux), CentraleSupélec a noué plus de 170 partenariats avec les meilleures institutions mondiales. L'école est également membre fondateur de l'Université Paris-Saclay.Contact presse Trophées Serge Weinberg : <a target="_blank" rel="" href="mailto:tropheesergeweinberg@future4care.com">tropheesergeweinberg@future4care.com</a>

“One health” le numérique pour une approche intégrée de la Santé. Première édition des Trophées Serge Weinberg : les candidatures sont ouvertes jusqu’au 27 avril

Future4care annonce le lancement de GenAI4care, initiative dédiée au progrès en IA Générative dans le secteur de la santé. Notre ambition est de créer un écosystème pionnier dans ce domaine, qui rassemble à l’échelle européenne des grands groupes industriels, des startups, des chercheurs, des académiques et des professionnels du soin, afin d’amplifier le développement des cas d’usage d’intelligence artificielle générative en santé.Publié le 19 décembre 2023 à 05h05Agnès de Leersnyder, CEO de Future4care a déclaré : « Depuis sa création il y a deux ans, Future4care a prouvé l’efficacité de son approche multidisciplinaire. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans la continuité de notre raison d’être, qui est de rassembler des acteurs innovants autour des sujets qui font la santé de demain. Future4care a été pionnier en explorant très tôt les sujets d’IA Générative, et notre écosystème est aujourd’hui prêt à accélérer pour transformer ces sujets prospectifs en des cas d’usages concrets au service des patients et des professionnels de santé. »Le déploiement de GenAI4care repose sur plusieurs grands axes, qui ont pour certains déjà étés initiés et qui se poursuivront jusqu’a minima 2025 :<ul><li>L’Accélérateur va proposer un appel à candidatures depuis les campus de Paris et Berlin à destination des startups développant des cas d’usage d’IA Générative en santé.</li><li>L’Institut va proposer via son Académie un cycle de formation en IA Générative en santé, ainsi qu’un Think thank dédié à la compétitivité française et européenne et aux questions d’accès aux données et leur structuration.</li></ul>L’Innovation Factory, notre centre de co-développement, va animer avec les membres de l’écosystème des travaux sur des cas d’usage d’IA Générative en santé.GenAI4care a été lancé lors d’un Festival à Future4care le 18 décembre 2023, qui réunissait les 4 CEO fondateurs de l’écosystème - Paul Hudson, Directeur Général de Sanofi, Aiman Ezzat, Directeur général de Capgemini, Christel Heydemann, Directrice générale du groupe Orange et Jean-Laurent Granier, Président-Directeur général de Generali France. Cet évènement proposait une exploration holistique de l’IA Générative en santé à travers quatre tables rondes et une zone de démonstration des cas d’usages des membres de l’écosystème.A propos de Future4care :Future4care est un écosystème européen d’acteurs multidisciplinaires et dédié à la santé numérique. Joint-Venture fondée en 2021 par l’alliance de Capgemini, Generali, Orange et Sanofi , Future4care rassemble les acteurs de la E-santé (grands groupes, experts, professionnels de santé, startups, etc.) afin de les faire dialoguer et de créer des synergies et des opportunités qui permettront d’accélérer le progrès en santé numérique. Depuis son lancement, Future4care a été rejoint par six partenaires industriels ( Alira Health, Be-ys, Biocodex, Havas Health &amp; You, IQVIA et UCB ). Les travaux de Future4care sont guidés par un Conseil Scientifique et Ethique.Contact presse : Justine Spitzer – <a target="_blank" rel="" href="mailto:justine@future4care.com">justine@future4care.com</a> - 06 88 85 36 60

Future4care lance GenAI4care pour accélérer l’Intelligence Artificielle Générative en santé

Communiqué de presse Publié le 06 juillet 2023 à 11h03Paris, 3 juillet 2023 – La FEHAP, fédération de référence du secteur privé solidaire en santé et Future4care, écosystème européen ayant pour mission d’accélérer le progrès en santé numérique, ont signé une convention de partenariat qui vise à allier leurs forces pour accélérer le progrès en santé numérique.La souplesse et la réactivité du secteur privé solidaire associées à la dynamique des start-ups de l’e-santéL’innovation est au cœur des préoccupations des établissements et structures adhérents à la FEHAP. Le secteur privé solidaire est reconnu pour cela. Preuve en est la richesse des projets qui sont chaque année mis à l’honneur dans le cadre des Trophées de l’innovation. La FEHAP, sous l’impulsion de son nouveau directeur général, souhaite aller plus loin en contribuant à mettre en relation les besoins des adhérents et les solutions proposées par les start-ups de demain. Ainsi, ce partenariat sera l’occasion de nombreuses rencontres, d’échanges, de séances d’études et de travaux communs.<blockquote>L’innovation qu’elle soit technologique, managériale ou encore au service de la transition écologique est au carrefour de toutes les préoccupations des acteurs de la santé. La FEHAP est présente dans tous les champs de la naissance à la fin de vie. Les acteurs du sanitaire connaissent bien les enjeux liés à l’innovation. C’est moins évident du côté du médico-social et social. C’est pourquoi, nous comptons sur l’appui de Future4care pour faire naître des solutions innovantes au service de tous nos adhérents, y compris ceux qui y ont plus difficilement accès. Charles Guépratte - Directeur général de la FEHAP</blockquote>De son côté, Future4care propose un programme d’accélération de start-ups dans le domaine la ’E-santé à travers un accompagnement personnalisé par une équipe d’experts en santé numérique. Future4care est également composé d’un Institut dont l’objectif est de soutenir les progrès de la santé numérique et son adoption par les professionnels de santé et par les patients. Les réflexions et actions de l’Institut se concrétisent à travers un think tank, des publications et des évènements.<blockquote>Nous sommes ravis que la FEHAP rejoigne les partenaires de Future4care. Ce partenariat a beaucoup de sens pour nous car il s’inscrit dans notre volonté de faire dialoguer des acteurs multidisciplinaires autour d’enjeux communs, et c’est là toute la mission de Future4care. J’ai hâte de voir les synergies et projets qui naîtront de ce partenariat. Agnès de De Leersnyder - Directrice Générale de Future4care</blockquote>À propos de la FEHAP :La FEHAP, présente depuis 1936 dans l’ensemble des champs de la protection sociale, rassemble plus de 5 300 adhérents, œuvrant au sein de plus de 1500 organismes gestionnaires. Ces associations, fondations, congrégations, mutuelles, organismes de retraite complémentaire, de prévoyance ... emploient près de 351 000 salariés, soit près de 12% des emplois salariés de l’ESS. Sa souplesse, alliant gestion privée et service public, place ses établissements et services à la pointe de l’innovation et de la recherche. Sa gouvernance, issue de la société civile, est désintéressée. Ainsi, tous les résultats sont réinvestis au sein des structures au profit des personnes accueillies et soignées. <a target="_blank" rel="" href="www.fehap.fr">www.fehap.fr</a>À propos de Future4care :Future4care est un écosystème européen d’acteurs multidisciplinaires dédié à la santé numérique. Joint-Venture fondée en 2021 par l’alliance d’<a target="_blank" rel="" href="https://www.orange.fr/">Orange</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://www.capgemini.com/">Capgemini</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://www.sanofi.fr/">Sanofi</a> et <a target="_blank" rel="" href="https://www.generali.fr/">Generali</a>, Future4care rassemble les acteurs de la E-santé (grands groupes, experts, professionnels de santé, startups, etc.) afin de les faire dialoguer et de créer des synergies et des opportunités qui permettront d’accélérer le progrès en santé numérique. Depuis son lancement, Future4care a été rejoint par six partenaires industriels (<a target="_blank" rel="" href="https://www.biocodex.fr">Biocodex</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://www.ucb-france.fr/">UCB</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://www.havashealthandyou.fr/">IQVIA</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://www.havashealthandyou.fr/">Havas Health &amp; You</a>, <a target="_blank" rel="" href="https://alirahealth.com/">Alira Health</a> et <a target="_blank" rel="" href="https://www.be-ys.com/">Be-ys</a>). Les travaux de Future4care sont guidés par un conseil Scientifique et Ethique.

La FEHAP devient partenaire de Future4care, l’écosystème européen dédié à la santé numérique.

Communiqué de pressePublié le 22 juin 2023 à 04h58Paris et Berlin, 22 juin 2023.Future4care, alliance européenne d’acteurs multi-sectoriels ayant pour mission d’accélérer le progrès en santé numérique, ouvre son activité en Allemagne. Cette première ouverture d’une antenne à l’international est la concrétisation de l’ambition portée par Future4care depuis sa création : rassembler à l’échelle européenne les acteurs de la santé et de la tech, et contribuer à créer des synergies qui feront naître les leaders de la santé numérique de demain.L’offre de services de Future4care à destination des startups et partenaires va être proposée au marché allemand dès le mois de septembre 2023. La première étape de cette implantation en Allemagne a été concrétisée par l’animation d’un stand Future4care en collaboration avec EIT Health lors du salon Bitz and Pretzels ayant eu lieu à Munich le 20 et 21 juin 2023.Future4care s’appuie déjà sur les filières allemandes de ses partenaires et fondateurs pour lancer son offre de services et ouvrir des facilities à Berlin.Future4care annonce à cette occasion la nomination de Katherine Ossenkopp en tant que Country Manager de Future4care Germany. Katherine Ossenkopp sera responsable de la stratégie de Future4care en Allemagne et de son implantation.<blockquote>Nous vivons un moment unique pour repenser notre système de santé avec l'apport de la technologie. Je suis convaincue que nous avons besoin d'un engagement commun pour mener à bien ce projet. C'est pourquoi je suis très enthousiaste à l'idée de rejoindre Future4care et son solide écosystème multidisciplinaire en Europe, et je contribuerai à établir des connexions impactantes entre les principaux acteurs allemands de la santé numérique et au-delà ! Katherine Ossenkopp - Country Manager de Future4care Germany</blockquote><blockquote>Je me réjouis de l’arrivée de Katherine Ossenkopp. Son expertise du marché de la santé en Allemagne, sa maîtrise de la santé digitale et son leadership font d’elle la personne idéale pour porter ce nouveau challenge qui marque une étape importante dans l’histoire de Future4care. J’ai hâte de ce que nous allons accomplir ensemble.Agnès De Leersnyder - CEO de Future4care</blockquote><blockquote>L’ouverture de Future4care en Allemagne est le premier pas vers notre stratégie européenne. Chez Future4care, nous sommes convaincus que le numérique est une réponse aux défis modernes de la santé. Une alliance de partenaires industriels à l’échelle européenne contribuera à la réussite globale du modèle. Je suis très heureux que Katherine Ossenkopp rejoigne l’aventure et je suis certain qu’elle insufflera toute l’énergie nécessaire à l’atteinte de nos objectifs.Philippe Peyre - Président de Future4care</blockquote>

Future4care ouvre son activité en Allemagne et poursuit son ambition d’être le plus grand écosystème européen d’acteurs en santé numérique.

19 nouvelles startups rejoignent l'accélérateur Future4care

Quelles perspectives pour la Santé Mentale ?

Réussir son lancement à l'international !

Future4care, un an au cœur de la révolution e-santé

Paris, le 12 mai 2022. UCB, entreprise biopharmaceutique internationale spécialisée et reconnue dans les maladies graves en immunologie et en neurologie, rejoint Future4care en tant que nouvel adhérent.Publié le 11 mai 2022 à 06h59L’arrivée de ce pionnier Belge de la biopharmacie, fort de plus de 8.500 collaborateurs à travers le monde, vient renforcer la multidisciplinarité voulue par les fondateurs de Future4care.Rejoindre Future4care illustre l’engagement d’UCB à mener une action volontariste en faveur de l’innovation. Nous avons pour point commun de penser que nous ne pourrons pas résoudre seuls les défis mondiaux en matière de santé et que les avancées majeures résulteront de l'utilisation de nouvelles technologies et d'une collaboration ouverte. C’est pourquoi, l’approche partenariale se situe au cœur de la démarche d’UCB visant à découvrir de nouveaux outils, technologies et partenaires pour se connecter aux patients.Fabienne Delaplace-Lavoix, directrice générale d’UCB France explique que&nbsp;« UCB est extrêmement fière de rejoindre la communauté Future4care pour accélérer la mise à disposition de nouvelles solutions en santé et répondre aux nouveaux besoins des patients. C’est en unissant nos forces - entreprises dynamiques, startups en Biotech et Medtech et industrie pharmaceutique - que nous pourrons libérer le pouvoir de l’innovation et inventer ensemble l’avenir de notre santé. Notre mission est de créer de la valeur pour les patients. Et je pense que nous avons tous compris que la valeur pour le patient nous appelle à inventer de nouveaux possibles."Membre du Comité de sélection de Future4care, UCB va ainsi jouer un rôle fondamental au sein de l’écosystème, en matière de gouvernance, afin de :<ul><li>Définir les thématiques annuelles et illustrations de Future4care ;</li><li>Prendre part au choix des critères de sélection des startups sélectionnées ;</li><li>Participer à la fixation des lignes directrices des travaux de l’Institut de Future4care ;</li><li>Contribuer à l’entrée de nouveaux adhérents</li></ul>UCB participera également à la sélection des startups lors des différents appels à projets lancés tous les six mois.Le nouvel adhérent bénéficiera également d’un accès à la plateforme d'open innovation de Future4care et d’un ensemble de services d’acculturation, de collaboration et d’influence.Il sera aussi amené à contribuer aux travaux de l’Institut Future4care.Pour plus d’information, rendez-vous sur<a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com/fr">&nbsp;</a><a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com">https://future4care.com</a>&nbsp;A propos de Future4careFuture4care est l'accélérateur européen de startups en e-santé, né de l'alliance entre Capgemini, Generali, Orange et Sanofi. Son objectif est d'accélérer la mise sur le marché de solutions en mesure de devenir des champions européens de la e-santé. Écosystème d'une ampleur unique en Europe, Future4care, c’est :<ul><li>Un espace de 6400m2 en plein cœur de Paris dans le 13eme arrondissement au Biopark pour accompagner au mieux les startups dans leur phase d’accélération ;</li><li>Une plateforme d’open innovation pour faciliter l’acculturation, la collaboration et l’influence au sein de la communauté</li><li>Un Institut, véritable centre de connaissances qui proposera des programmes et conférences liés à la santé numérique ;</li><li>Un label de référence.</li></ul>&nbsp;A propos d’UCBChez UCB, notre mission n’est jamais terminée - car nous aspirons toujours à trouver de nouvelles façons de développer des solutions pour les personnes vivant avec des maladies graves. Nous agissons avec détermination pour créer de la valeur et apporter de réelles améliorations dans la vie des personnes que nous servons, aujourd'hui et dans le futur. Nous sommes guidés par notre engagement envers les personnes vivant avec des maladies graves qui inspirent notre recherche et développement en neurologie, immunologie et autres domaines dans lesquels notre expertise, innovation et ambition peuvent répondre à des besoins non satisfaits. Nous établissons des liens solides avec les patients et les professionnels de santé qui sont confrontés chaque jour à ces maladies, ainsi qu'avec les collègues et les partenaires qui partagent notre passion pour relever les défis des maladies graves.&nbsp;Contact presse :Future4careVincent Puren<a target="_blank" rel="" href="mailto:vincent@future4care.com">vincent@future4care.com</a>&nbsp;UCB FranceFlore Houlet<a target="_blank" rel="" href="mailto:flore.houlet@ucb.com">flore.houlet@ucb.com</a>

 UCB rejoint Future4care !

Paris, le 13 avril. Biocodex, pionnier et acteur international majeur dans le domaine des microbiotes et de la santé de la femme, rejoint Future4care en tant que nouvel adhérent. L’arrivée de cette société forte de plus de 1.600 collaborateurs, permet de renforcer la multidisciplinarité voulue par les fondateurs de Future4care.Publié le 11 avril 2022 à 10h15Biocodex investit depuis plusieurs années dans des startups axées sur les microbiotes, son principal domaine d’expertise. Le partenariat avec Future4Care, lui permettra d’accélérer dans la santé numérique et de prendre place dans cet écosystème d’excellence.Future4care et Biocodex partagent les mêmes convictions, au premier titre, celle de rassembler les acteurs de l’écosystème pour rendre possibles les innovations qui feront la santé de demain, au bénéfice du patient. En rejoignant l’initiative, Biocodex contribuera à la « fabrique » des solutions qui adressent les enjeux de souveraineté à l’échelle européenne sur les données de santé et à la question de l’encadrement de leur exploitation.Nicolas Coudurier, Directeur Général de Biocodex précise&nbsp;« Nous sommes très honorés d’être le premier partenaire de l’industrie pharmaceutique choisi par les fondateurs de Future4Care. Biocodex contribuera à la formidable dynamique créée par ce consortium au service de la santé de demain. Notre industrie doit créer des liens avec les acteurs de la prévoyance, du numérique et les startups pour adresser nos nouveaux enjeux y compris sociétaux, comme, au-delà de la data, la prévention. Biocodex est engagé pour ses patients ; Biocodex est également engagé pour ses collaborateurs qui bénéficieront du dispositif proposé par Future4Care qui illustre l’accélération dans notre transformation. »Membre du Comité de sélection de Future4care, Biocodex va ainsi jouer un rôle fondamental au sein de l’écosystème, en matière de gouvernance, afin de :<ul><li>Définir les thématiques annuelles et illustrations de Future4care ;</li><li>Prendre part au choix des critères de sélection des startups sélectionnées ;</li><li>Participer à la fixation des lignes directrices des travaux de l’Institut de Future4Care ;</li><li>Contribuer à l’entrée de nouveaux adhérents</li></ul>Biocodex participera également à la sélection des startups lors des différents appels à projets lancés tous les six mois.Le nouvel adhérent bénéficiera également d’un accès à la plateforme d'open innovation de Future4care et d’un ensemble de services d’acculturation, de collaboration et d’influence.Il sera aussi amené à contribuer aux travaux de l’Institut Future4care.&nbsp;Pour plus d’information, rendez-vous sur<a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com/fr">&nbsp;</a><a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com">https://future4care.com</a>&nbsp;A propos de Future4careFuture4care est l'accélérateur européen de startups en e-santé, né de l'alliance entre Capgemini, Generali, Orange et Sanofi. Son objectif est d'accélérer la mise sur le marché de solutions en mesure de devenir des champions européens de la e-santé. Écosystème d'une ampleur unique en Europe, Future4care, c’est :<ul><li>Un espace de 6400m2 en plein cœur de Paris dans le 13eme arrondissement au Biopark pour accompagner au mieux les startups dans leur phase d’accélération ;</li><li>Une plateforme d’open innovation pour faciliter l’acculturation, la collaboration et l’influence au sein de la communauté</li><li>Un Institut, véritable centre de connaissances qui proposera des programmes et conférences liés à la santé numérique ;</li><li>Un label de référence.&nbsp;</li></ul>&nbsp;A propos de BiocodexBiocodex est une société pharmaceutique française fondée en 1953 autour du développement et de la commercialisation de la première souche de levure probiotique au monde,&nbsp;Saccharomyces boulardii&nbsp;CNCM I-745. Aujourd’hui Biocodex se développe autour de trois piliers : les microbiotes, la santé de la femme et les maladies orphelines.Biocodex emploie plus de 1 600 personnes et a réalisé un chiffre d’affaires net de 418 M € en 2021 dont 42 % en France et 58 % à l’international. Le groupe Biocodex est présent dans 124 pays, dont 20 pays à travers ses propres filiales. Ses produits sont distribués dans le reste du monde par des sociétés partenaires.&nbsp;Dévouvrez,&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/a7vfoQXtQPc">ici</a>, l'interview de Nicolas Coudurier, Directeur Général de Biocodex.

Les laboratoires Biocodex rejoignent Future4care !

A l’occasion du salon MedinTechs, qui se tient à Paris les 8 et 9 mars 2022, PariSanté Campus, programme national porté par le Président de la République, @Hôtel-Dieu, porté par l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris et Future4care, porté par Sanofi, Orange, Generali et Cap Gemini, rendent public le partenariat inédit dans lequel ils souhaitent s'engager.Publié le 09 mars 2022 à 01h00La révolution numérique est une transformation globale&nbsp;: elle naît de la recherche, s’ancre dans le soin et suppose le déploiement de solutions industrielles permettant un changement d’échelle en réponse aux attentes des patients et des professionnels de santé, en ville comme à l’hôpital. Pour donner les meilleurs atouts à la France et jouer les premiers rôles dans cette révolution, il est essentiel tout à la fois de mobiliser les forces scientifiques, hospitalo-universitaires et industrielles et de les faire converger.C’est le sens du partenariat annoncé par les trois grands acteurs que sont PariSanté Campus Future4care et @Hôtel-Dieu et qui ont pour vocation d’accélérer l’innovation en santé chacun avec des expertises spécifiques&nbsp;: PariSanté Campus dans le champ dans de la recherche et de la formation, Future4Care sur le plan industriel, @Hôtel-Dieu en matière hospitalo-universitaire.En nouant un partenariat ambitieux, ces trois acteurs entendent faire communiquer les écosystèmes qu’ils constituent et animent pour créer une communauté globale de la santé numérique. Ce partenariat, ouvert sur l’ensemble des territoires, a pour objectif de démultiplier le rayonnement national et international de la France dans ce domaine.Il comprend un volet particulier tourné vers les start-up, qui sont au cœur de la révolution de la santé numérique. PariSanté Campus, Future4care et @Hôtel-Dieu, qui proposent des offres de services différenciées et complémentaires, ont donc uni leurs forces pour lancer des programmes conjoints ouverts aux startups soutenues par les trois initiatives.Ainsi, quatre axes de collaboration sont au cœur de ce partenariat&nbsp;inédit :<ul><li>Proposer une offre d’accompagnement croisée pour les start-ups, au meilleur niveau, en s’appuyant sur un groupe de six start-up pilotes exprimant un besoin d’articulation fort avec les trois univers&nbsp;;</li><li>Offrir une programmation événementielle&nbsp;inédite, et ainsi devenir des lieux d'animation et d'échanges au service d’une grande communauté globale de l’innovation en santé numérique à travers des&nbsp;événements communs&nbsp;et une programmation coordonnée&nbsp;;&nbsp;</li><li>Démarrer des collaborations autour des&nbsp;données de santé&nbsp;: animer la réflexion commune intégrant les attentes et les contraintes de la recherche, du soin et de l’industrie autour des données de santé, afin d’accélérer la révolution de la santé numérique en identifiant des stratégies innovantes de partage et d’analyse de la donnée&nbsp;;</li><li>Coordonner&nbsp;l’effort de recherche conduit par les trois structures et proposer des publications conjointes entre Future4care, Hôtel-Dieu et PariSanté Campus.</li></ul>Plus immédiatement, les trois partenaires vont organiser des rencontres croisées avec quelques startups privilégiées issues des différentes structures&nbsp;:<ul><li>Première étape avec @Hôtel-Dieu&nbsp;qui va organiser, en avril 2022, une première journée d’immersion à l’hôpital à destination des start-ups et des acteurs des industriels&nbsp;;</li><li>Puis, en mai,&nbsp;Future4care&nbsp;organisera le premier atelier avec les 6 start-up pilotes&nbsp;;</li><li>Enfin en juin, se tiendra un atelier autour de la donnée de santé à&nbsp;PariSanté Campus.</li></ul>Ce partenariat doit permettre de donner de la lisibilité à l’écosystème et des orientations claires aux startups en santé numérique. Plus largement, les axes de collaboration identifiés seront au service d’un progrès en santé numérique le plus efficient possible.Retrouvez la vidéo officielle du lancement de ce partenariat,&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/wohfzR1phqM">ici.</a>A propos de PariSanté CampusPariSanté Campus est un campus de recherche, de formation, d’innovation et d’entrepreneuriat dans le domaine du numérique pour la santé. Il est composé de 5 membres fondateurs : l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), l’Université́ PSL (Paris Sciences &amp; Lettres), l'institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le Health Data Hub et l’agence du numérique en Santé (ANS). L’objectif de PariSanté Campus est de structurer une filière dédiée au numérique pour la santé, avec une portée mondiale, et ouverte aux partenariats franciliens, nationaux et internationaux. A travers un centre unique au monde rassemblant chercheurs, soignants, entrepreneurs, institutionnels et acteurs de la société, PariSanté Campus devient le cœur de la santé de demain.Plus d’informations sur&nbsp;:&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="http://www.parisantecampus.fr/">www.parisantecampus.fr/</a>A propos de Future4careFuture4care est un accélérateur européen de startups en e-santé lancé en janvier 2021, co-fondé par quatre grandes entreprises européennes - Capgemini, Generali, Orange et Sanofi - réunies autour de l’ambition commune d’accompagner des startups dans leur passage à l’échelle, pour renforcer la souveraineté sanitaire européenne et décloisonner les interactions entre acteurs du système de santé.&nbsp;Future4care a pour mission d’accélérer le développement de solutions de e-santé jusqu’à leur mise sur le marché,&nbsp;&nbsp;Tournée vers les startups qui souhaitent accélérer leur passage à l’échelle en vue de leur industrialisation, l’offre de services de Future4care permet d’héberger son entreprise au sein de l’immeuble Biopark (6 400 m²) dans le 13e&nbsp;arrondissement de Paris, et de bénéficier d’un accompagnement sur-mesure combinant l’accès à de la connaissance et la mise en relation avec des experts de notre réseau.&nbsp; Future4care, c’est aussi un lieu prospectif en santé numérique. Ses réflexions et actions concerneront les sujets liés à l’usage, l’éthique, à la souveraineté économique française et européenne.​ ​L’Institut Future4care se distinguera par son positionnement hautement expert, son objectivité, son engagement en faveur du progrès en santé numérique.​ ​ Il sera guidé par un comité interdisciplinaire, scientifique et éthique.​Plus d’informations sur&nbsp;:&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com/fr">https://future4care.com/fr</a>A propos de @Hôtel-Dieu@Hôtel-Dieu, porté par l’AP-HP et Université de Paris, est une initiative qui permet d’accélérer l’innovation au service du soin en permettant aux start-up, aux soignants et aux chercheurs de travailler ensemble mais différemment au cœur d’un des plus anciens hôpitaux d’Europe. Elle se traduit par l’ouverture, au cœur de l’Hôtel-Dieu, et au contact direct des services de soin, d’une plateforme d’accompagnement destinée aux start-up, en partenariat avec BioLabs et le Digital Medical Hub, et d’un tiers-lieu qui permettra, en lien avec la recherche et le soin, de travailler à la construction des nouveaux modèles du soin digital. @Hôtel-Dieu a d’ores et déjà permis de lancer un premier projet de construction d’une plateforme universelle de suivi à distance des patients avec cinq start-up de premier rang : Lifen, Nouveal, Withings, Implicity et Nabla. &nbsp;Le lancement d’@Hôtel-Dieu s’inscrit dans le prolongement des actions engagées par l’AP-HP pour accélérer l’innovation en santé, avec la création de l’institut Carnot@AP-HP, de l’entrepôt de données de santé et du Hub Innovation.

Future4care, @Hôtel-Dieu et PariSanté Campus annoncent un partenariat inédit au service de la santé numérique

Aujourd'hui, Future4care souhaite promouvoir un sujet important, qui est traité et mis en avant par notre partenaire, Galen Growth. A l'occasion de la journée internationale de la femme, nous souhaitons promouvoir le rapport 'Women's health in digital health', réalisé par Galen Growth.Publié le 04 mars 2022 à 10h31Chez Future4care, nous avons voulu en savoir plus, c'est pourquoi nous avons interviewé Sara Schmachtenberg, responsable des données et des analyses pour l'Europe et les États-Unis, chez Galen Growth. &nbsp;Nous partageons ici les 5 principaux insights de ce rapport et les chiffres clés qui en ressortent. Vous trouverez, à la fin de cet article, le lien pour accéder au rapport complet qinsi qu’un lien vers l'interview complète de Sara Schmachtenberg.&nbsp; &nbsp;<ol><li>Signification de la santé des femmes dans la santé numérique, pour Galen Growth &nbsp;</li><li>État de la croissance des entreprises &nbsp;</li><li>Financement des entreprises &nbsp;</li><li>Solutions mises sur le marché &nbsp;</li><li>Le marché dans les prochaines années &nbsp;</li></ol>Maintenant, allons encore plus loin dans ces insights,&nbsp;à l'aide de quelques chiffres clés : &nbsp;<ul><li>La définition actuelle de la santé des femmes de Galen Growth comprend : L'obstétrique, l'oncologie féminine, la santé sexuelle des femmes, la gynécologie, la fertilité des femmes, la santé hormonale (y compris la ménopause). &nbsp;</li><li>Le volume des entreprises mondiales de santé numérique axées sur la santé des femmes augmente à un TCAC de 12 % sur 5 ans, soit deux fois plus vite que la croissance globale de 6 % des entreprises de santé numérique. &nbsp;</li><li>Le financement total des entreprises de santé numérique axées sur la santé des femmes en 2021 s'élevait à 3,75 milliards de dollars. &nbsp;</li><li>25 % des entreprises de santé numérique axées sur la santé des femmes développent des solutions dans le domaine du diagnostic médical, ce qui en fait le premier groupe.  (Les solutions pour les patients et le bien-être occupent les 2e et 3e places avec 15 % et 10 %, respectivement). &nbsp;</li><li>Quelles sont les prochaines étapes ? La maturité croissante des entreprises et l'abondance du capital-risque entraîneront un nombre croissant d'acquisitions au sein des entreprises de santé numérique axées sur la santé des femmes en 2022 et au-delà. &nbsp;</li></ul>Ce rapport démontre l'importance croissante de la santé des femmes dans la santé numérique. &nbsp;Chez Future4care, nous voulons absolument soutenir ce genre d'initiatives, c'est pourquoi nous soutenons notamment différentes startups qui se consacrent à la santé des femmes.&nbsp;Maintenant, nous attendons avec impatience le prochain rapport. &nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/SIpzHeYmcaE">Ici</a>,&nbsp; le lien vers la version longue de l'interview.&amp;&nbsp;Plus d’infos et rapport global ici:&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://www.galengrowth.com/product/womens-health-global-digital-health-2021-thematic-report/">https://www.galengrowth.com/product/womens-health-global-digital-health-2021-thematic-report/</a>&nbsp;

Comment le numérique peut-il améliorer la santé des femmes ?

Du manque d’accès aux données, à la position de dernier maillon de la chaîne, en passant par la forte concurrence, nombreuses sont les embuches rencontrées par les assureurs dans le milieu de la santé.Publié le 24 février 2022 à 09h11Ces acteurs jouent, en association avec la sécurité sociale, un rôle central dans la vie des patients. A l’heure du numérique, ils comptent plus que jamais offrir un accompagnement personnalisé et adapté aux besoins de chacun, à l’image de ce qui se fait déjà dans de nombreux autres secteurs. Le problème c’est qu’entre la volonté et la réalité il y a un écart important. Faute d’interopérabilité une fois de plus.Pour aborder ce sujet brûlant, nous avons interrogé&nbsp;Yanick Philippon, Directeur des Assurances Collectives chez Generali&nbsp;France.Parcours de soin&nbsp;: Organisation et acteursIl n’existe pas, à proprement parler, de parcours de soin universel, entre le patient et son assureur. Néanmoins, nous pouvons par exemple nous appuyer sur ce qui existe actuellement via l’espace client de Generali France et son corollaire, l’application mobile. Aujourd’hui, le patient interagit avec sa complémentaire santé en amont de ses soins, pour présenter par exemple un devis, une demande de prise en charge ou solliciter un deuxième avis médical avant de démarrer un traitement ou une opération. Puis en aval, une fois que les soins ont été effectués, pour procéder aux remboursements auxquels il a droit en tant qu’assuré.Entre ces deux phases, l’assureur ne dispose en revanche d’aucune information sur le parcours de soins du patient. Celui-ci relève des prérogatives de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM). Les informations sont alors transmises dans le Dossier Médical Partagé (DMP), un carnet de santé numérique qui conserve et sécurise les informations de santé du patient : traitements reçus lors des 12 derniers mois, antécédents médicaux (pathologies, allergies), résultats d’examens, comptes-rendus d’hospitalisation, etc. Les seuls acteurs à avoir accès et à pouvoir disposer de ces données sont le médecin traitant et tous les professionnels de santé (excepté la médecine du Travail), hôpital y compris.Depuis janvier 2022, les DMP existants ont été migrés sur une nouvelle plateforme baptisée «&nbsp;Mon Espace Santé&nbsp;» où seront désormais créés également les nouveaux dossiers. Jusqu’en mars 2022, tout affilié à la Sécurité Sociale sera averti et pourra (s’il le désire expressément) refuser l’activation ou la création de son espace.Mon espace santé abrite deux principales fonctionnalités. Premièrement, devenir le dossier médical de chacun. Ce qui permettra de stocker des documents médicaux, ajoutés par vos soins ou par vos professionnels de santé. Il permettra également d’alimenter de documents, informations, antérieurs à la date de création de cet espace, afin de retracer votre historique médical. En bref, le carnet de santé papier, que nous gardons précieusement depuis des années, passe au numérique.La deuxième fonctionnalité est celle d’être une messagerie instantanée. Celle-ci nous permettra en tant que patient, d’échanger ou recevoir des informations ou document de la part de nos&nbsp;&nbsp;professionnels de santé.Réassurance et confiance pour un meilleur accompagnementLes contraintes que rencontrent des acteurs comme Generali, à travers son offre de complémentaire santé, ne datent pas d’aujourd’hui. L’étanchéité des données médicales des patients est totale avec les acteurs institutionnels. La CPAM le stipule d’ailleurs sur son site d’information grand public&nbsp;: «&nbsp;Ni la médecine du travail, ni les mutuelles et assurances, ni les banques, ni votre employeur ne peuvent accéder à votre Dossier Médical Partagé. Enfin, tout accès à votre DMP par un professionnel de santé non autorisé constituerait un&nbsp;délit passible d’une peine d’emprisonnement et d’une amende&nbsp;».C’est une contrainte dans la mesure où ces acteurs pourraient mieux accompagner les assurés s’ils avaient accès à certaines informations. En connaissant par exemple la pathologie d’un patient, il devient plus facile d’apporter un conseil pointu en matière de grille tarifaire sans pour autant nuire à la qualité des soins et des traitements.Pour certains soins, les variations des honoraires appliqués peuvent être d’une amplitude pas toujours justifiée. Idem avec les médicaments qui sont prescrits. Un accès élargi offrirait la possibilité de bâtir des garanties santé plus précises et mieux adaptées pour le patient.Depuis le 1er&nbsp;janvier 2022 avec l’ouverture de «&nbsp;Mon Espace Santé&nbsp;» dont nous venons de parler, chaque personne affiliée au régime générale de la Sécurité Sociale, a la possibilité d’accorder ou de restreindre l’accès à son DMP. Cependant, cela ne concerne que les professionnels de santé. Ainsi, un pédicure-podologue ne pourra pas disposer de vos comptes-rendus d’hospitalisation.Un autre frein est la réticence du patient à partager ses données de santé avec son assureur. Alors que ce n’est absolument pas le cas de la part de l’assureur, il existe pourtant une crainte d’être sélectionné et quelquepart, pénalisé par des tarifs plus chers ou même d’être résilié ou refusé pour pouvoir disposer d’une couverture santé complémentaire. Il y a sans doute aussi une confusion avec le processus de l’assurance emprunteur où chaque personne doit effectivement remplir sur l’honneur un questionnaire de santé et éventuellement effectuer quelques analyses médicales.Il faut clairement continuer à faire acte de réassurance envers le patient sur le fait qu’il n’y a pas de volonté de discrimination.De même, un travail pédagogique de fond est nécessaire en continu pour montrer la véritable valeur ajoutée pour le patient à partager certaines données. Dans le cas du deuxième avis médical auquel un patient a droit à travers sa complémentaire santé, avoir plus de données permettrait de prodiguer un diagnostic ou un conseil médical plus affiné pour le bénéfice du patient. Plus les données sont disponibles pour la compréhension du parcours de soin du patient, plus l'efficience des services proposés se verra amélioréePlus encore que la donnée elle-même, c’est&nbsp;la facilitation de sa mise à disposition et de son utilisation qui est essentielle pour que le patient puisse bénéficier de la meilleure prévention possible, des meilleurs parcours de soins possible lorsqu’une intervention médicale est requise et des meilleurs suivis post-intervention possibles. A cet égard, un écosystème d’innovation en santé numérique comme Future4care constitue une formidable opportunité d’accélérer le développement et la mise sur le marché de solutions e-santé fondées précisément sur la donnée, au bénéfice de tous, en particulier des patients et des professionnels de santé.La fracture entre les acteurs a un impact direct sur les patientsOn ne peut pas nier que de fortes réticences&nbsp;existent et persistent à différents niveaux de la chaîne de valeur. Pour les professionnels de santé, élargir l’accès aux données de santé est très souvent assimilé à une forme de contrôle accru de leurs actes médicaux par des tiers non-légitimes, voire la possibilité plus forte de remettre en cause et contester leurs diagnostics. Là aussi, un nécessaire travail d’explication et de dialogue doit être opéré pour lever progressivement les résistances et les appréhensions et tendre vers une coopération mutuelle au service et au bénéfice du patient.L’Etat lui-même n’est pas toujours exempt de certaines frictions. Le rapport du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM) à propos de la «&nbsp;Grande Sécu&nbsp;» (à la demande du ministère de la Santé) en est une illustration actuelle. Actuellement, quatre scénarios d’articulation entre la couverture maladie obligatoire de base et la couverture maladie complémentaire, sont étudiés. Du plus radical au plus «&nbsp;pondéré&nbsp;», ces 4 hypothèses aboutissent de facto à une nationalisation de la couverture santé et à une marginalisation des assurances complémentaires santé.Si ce projet voyait le jour, cela créerait sans aucun doute un système profondément injuste, créant une division entre ceux qui peuvent se permettre de payer plus sans soutien public et en obtenant un accès rapide aux meilleurs professionnels, et ceux qui ne peuvent pas se le permettre.Un tel scénario ne correspond pas aux attentes des professionnels de la santé et surtout aux attentes des Français en général qui sont profondément attachés à une certaine liberté d’activité et de choix.Il y a pourtant des choses à faire pour améliorer la couverture sanitaire de la population, en particulier des plus vulnérables, mais ce scénario de «&nbsp;Grande Sécu&nbsp;» n’est clairement pas la bonne décision à prendre. Le bon sens doit prévaloir sur cette question.Le numérique en santé, l’atout majeurCe sujet de «&nbsp;Grande Sécu&nbsp;» divise, quand les bienfaits du numérique, eux, fédèrent de plus en plus la pensée de notre écosystème. D’ailleurs, il est difficile d’être totalement exhaustif sur les qualités du numérique, tant il recèle quantité d’apports positifs pour le parcours santé du patient à quelque stade que ce soit. Par exemple, les objets connectés sont de formidables leviers pour assurer un suivi quotidien optimisé et personnalisé de diverses maladies chroniques comme l’arythmie cardiaque, l’asthme, le diabète mais aussi dans le cadre d’un suivi post-opératoire en ambulatoire et/ou à domicile au lieu d’être plus longuement hospitalisé.La prévention est une autre dimension fondamentale où d’immenses progrès peuvent être accomplis grâce au numérique, pour une meilleure connaissance des modes de vie et de l’environnement du patient.Pour les professionnels de santé (comme pour l’Etat et les assureurs), la médecine prédictive est aussi un vaste champ d’opportunités comme mieux anticiper et enrayer la survenue de certaines pandémies ou des épidémies plus familières comme la grippe, la gastro-entérite ainsi que les allergies saisonnières. Avec la mise sur le marché des vaccins à ARN messager contre le Covid-19, le monde a par exemple pris conscience des progrès fantastiques des technologies numériques de séquençage et de synthèse d’ARN. Cette technologie ouvre également de grandes perspectives en matière de stockage d’informations avec des capacités jamais atteintes.L’enjeu de la télémédecineImpossible de parler de numérique sans aborder le sujet de la télémédecine, sujet de longue date. Pour être fonctionnelle, la télémédecine requiert des infrastructures et des réseaux de télécommunications suffisamment puissants. Il y a 20 ans, l’accès à la fibre optique et au haut débit mobile était encore embryonnaire en termes de déploiement sur le territoire français.Aujourd’hui, la fibre et la 5G disposent d’un taux de couverture nettement plus élevé bien qu’il reste encore des zones blanches où patients et professionnels de santé ne peuvent pas recourir à la télémédecine. Les usages s’en trouvent donc facilités et amplifiés.Ensuite, au-delà de la question des infrastructures, il faut encourager dès que possible l’utilisation de services de santé à distance. A cet égard, une avancée très intéressante vient d’être faite le 27 janvier dernier. La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié quatre référentiels pour aider les acteurs de santé à s’appuyer sur la télésurveillance médicale. Ces guides définissent les conditions de prescription de la télésurveillance, les spécifications techniques minimales requises pour les dispositifs médicaux numériques et accessoires de collecte, les conditions de distribution et d'utilisation, les professionnels impliqués, la qualification des professionnels exigée, l'organisation de la télésurveillance, les dispositions minimales nécessaires pour assurer la qualité des soins ainsi que le suivi et l'utilisation de la télésurveillance.D'ici le 1er juillet, le remboursement de la télésurveillance médicale sera généralisé pour plusieurs pathologies (diabète, insuffisance rénale, cardiaque et respiratoire chronique). A brève échéance, les patients porteurs de prothèses cardiaques implantables seront également concernés par ce dispositif. Pour un professionnel de santé, cela permet d'interpréter à distance des données pour le suivi médical de son patient, voire d'adapter sa prise en charge. Ce suivi à distance peut permettre de détecter une aggravation de l'état de santé du patient et intervenir plus rapidement. Ces dispositifs sont de véritables atouts pour faire la preuve de l’intérêt immense du numérique dans la santé.Future4care, catalyseur et accélérateur du progrès en santé numériqueFuture4care a un rôle fondamental à jouer dans cet écosystème de la santé numérique. C’est d’ailleurs ce qui a conduit Generali à être un des quatre partenaires fondateurs (aux côtés de Sanofi, Orange et Capgemini) de cette initiative novatrice et puissante qui va contribuer à modéliser la santé du futur et à trouver de nouvelles solutions technologiques et des services innovants pour les patients. Le métier de l’assurance travaille statistiquement à partir d’un volume important de données anonymisées et d’un historique de plusieurs décennies qui pourront être mis à la disposition des startups pour alimenter leurs recherches de solutions.Dans l’univers foisonnant des startups, Future4care agit comme un véritable catalyseur qui est en capacité d’identifier les projets de santé numérique les plus pertinents et prometteurs, de les soutenir pour accélérer leur développement et leur mise sur le marché au bénéfice des professionnels de santé et des patients.Ensuite, Future4care est un creuset physique et virtuel d’échanges et de veille technologique qui va resserrer les liens entre de grands acteurs comme les quatre fondateurs impliqués dans la santé numérique, des start-ups qui pourront tester, fiabiliser et lancer des solutions concrètes et innovantes, et des acteurs du monde médical, des universités ou encore des associations de patients. L’idée est vraiment d’établir plus de ponts entre ces communautés qui en fin de compte, œuvrent toutes pour un objectif ultime&nbsp;: mieux prévenir pour mieux protéger la santé de chacun et mieux soigner pour mieux retrouver sa qualité de vie.

L’assureur, le patient et la donnée de santé

Cette semaine, Future4care est à l'honneur dans Les Echos, par le biais d'une tribune de notre Vice-Président Olivier Guerin. Celui-ci revient sur la place centrale des professionnels de santé dans le processus de transformation numérique du système de soin.Publié le 15 février 2022 à 10h23Chez Future4care, nous sommes convaincus que le numérique, en santé, est porteur d'une amélioration considérable du soin, aussi bien en termes de performance que de qualité humaine. C'est ce que nous avons voulu exprimer avec notre Vice Président Olivier Guerin, par ailleurs médecin.Les médecins restent essentiels dans ce nouveau paradigme, mais leur rôle et la manière dont ils travaillent changent. Cela ne doit pas les effrayer. L'anxiété générée par les outils numériques, davantage qu'un problème d'éthique, pose finalement un problème d'ego.Ce saut d'échelle redonnera au système de santé le souffle dont il a besoin, et l'épanouissement professionnel qui fait si cruellement défaut.L'article est disponible en ligne&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-accelerons-le-sante-le-numerique-sauve-des-vies-1386580">sur le site des Echos</a>&nbsp;et ci-dessous.

Le numérique peut sauver notre système de santé

L’équipe Future4care a eu la chance d’échanger avec le Dr Rafaèle Tordjman, fondatrice du fonds d’investissement, Jeito.Publié le 12 janvier 2022 à 08h50Un entretien vidéo à découvrir en fin d’article. Voici les 5 informations clés sur le Dr. Rafaèle Tordjman :&nbsp;<ol><li>Rafaèle Tordjman est médecin en Hémato-Oncologie et scientifique avec un doctorat en biologie et immunologie moléculaire, de formation.&nbsp;</li><li>Forte de cette expérience, le Dr. Tordjman investit, depuis plus de 20 ans, dans la biotech et a notamment siégé au conseil d’administration de certaines de ces entreprises. Ces investissements ont généré cinq produits approuvés et environ 20 médicaments en phase finale de développement clinique.</li><li>En 2018, le Dr. Tordjman a fondé Jeito Capital, une société d'investissement indépendante dédiée aux biotech, afin d'établir un modèle de financement continu et d'investir dans la prochaine génération de leaders de l'innovation médicale.&nbsp; Son ambition est motivée par une connaissance fine du monde de la santé et notamment des biotechnologies. En créant ce fonds, le Dr. Tordjman prouve, une nouvelle fois, l’importance de la collaboration entre les différents acteurs du secteur de la santé. Jeito a levé 534 millions d'euros (630 millions de dollars) en septembre 2021, devenant ainsi le plus grand fonds européen indépendant dans les sciences de la vie.&nbsp;</li><li>En juillet 2021, le Dr Tordjman a été nommée par le président de la République française, Emmanuel Macron, pour promouvoir l'écosystème français des biotechnologies auprès de grands acteurs internationaux. Sa mission est d’attirer les talents du système de santé et d’innovation médicale, au sein de l’écosystème français.&nbsp;</li><li>Le Dr. Tordjman soutient Future4care dans sa vocation de rassembler l’écosystème pour créer un système de santé plus soudé, en vue de faire émerger les solutions de e-santé de demain. ”What is still to improve is how to work together, within an ecosystem, instead of working by silo. […] It’s exactly what Future4care wants to do”&nbsp;&nbsp;</li></ol>Chez Future4care, nous sommes convaincus que des initiatives comme Jeito, contribuent à&nbsp; faire de notre système de santé un système robuste et pérenne. Notre vocation est d’ailleurs de les fédérer en tant que tiers de confiance pour accélérer le progrès en santé numérique.&nbsp;Découvrez l<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/mAn7EvkI-D8">’interview</a>&nbsp;complète du Docteur Rafaèle Tordjman.&nbsp;

Rencontre avec Rafaèle Tordjman du fond d’investissement Jeito.

Paris, le 6 janvier 2022– be ys, l’expert des hautes technologies de confiance numérique et de gouvernance de la data appliquées à l'assurance et à la santé, devient le premier adhérent industriel de Future4care.Publié le 06 janvier 2022 à 09h54Cette collaboration étoffe l’écosystème Future4care pour soutenir et accélérer le développement de startups françaises et européennes proposant des solutions en matière de santé numérique. be ys est une plateforme technologique de gestion de services pour de nombreux acteurs de l’Assurance, la Santé et la Prévoyance. L’entreprise développe des services différenciants dans une position de neutralité et d’intégrité absolue au service de la protection du patrimoine des données de ses clients et à la pointe des technologies actuelles. be ys intervient par ailleurs dans des domaines cruciaux qui concernent la santé numérique comme, par exemple, la sécurité des paiements et transactions avec les patients, le cloud souverain ainsi que le traitement et l’hébergement de données sensibles et personnelles dans des data centers hautement sécurisés. Le groupe be ys compte aujourd’hui 3200 collaborateurs à travers le monde dont 460 basés en France. Membre du Comité de sélection, be ys va ainsi jouer un rôle fondamental au sein de l’écosystème, en matière de gouvernance, afin de :&nbsp;<ul><li>&nbsp;Définir les thématiques annuelles et sous-thématiques de Future4care ;</li><li>Participer au choix des critères de sélection des startups sélectionnées ;</li><li>Participer à la fixation des lignes directrices des travaux de l’Institut ;</li><li>Valider l’entrée de nouveaux adhérents.</li></ul>be ys participe également à la sélection des startups en vue de leur intégration à l’écosystème, lors des « Appels à projet », bénéficie d’un accès à la plateforme d'open innovation de Future4care et d’un ensemble de services dédiés (ateliers, demodays, reverse pitching, formations), et pour finir, contribue aux travaux de l’Institut ainsi que ceux du Think tank de Future4care.&nbsp; Future4care a pour ambition de fédérer l’ensemble des acteurs de la santé (patients, structures de soins, startups, académiques et institutionnels, publics et privés) afin d’inventer collectivement le futur de la e-santé et de faire de l'Europe un acteur incontournable de la scène mondiale et de garantir sa souveraineté dans ce domaine.&nbsp; C’est dans ce cadre que Future4care inaugurera en 2022 un lieu unique dans le 13ème arrondissement de Paris, afin de réunir les startups sélectionnées, les représentants des adhérents, et une communauté d’experts, du programme d’accélération, pour favoriser les collaborations tout en préservant la confidentialité. Les différentes parties prenantes auront également l’opportunité de capitaliser sur les nouvelles solutions apportées : proposer et/ou participer au co-développement de solutions innovantes.Pour plus d’information, rendez-vous sur&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://future4care.com/fr">https://future4care.com/fr</a>A propos de Future4careFuture4care est l'accélérateur européen de startups en santé digitale, né de l'alliance entre Capgemini, Generali, Orange et Sanofi. Son objectif est d'accélérer la mise sur le marché de solutions de e-santé innovantes et concrètes. Écosystème d'une ampleur unique, Future4care, c’est : &nbsp;<ul><li>Un espace de 6400m2 en plein cœur de Paris dans le 13eme arrondissement au Biopark pour accompagner au mieux les startups dans leur phase d’accélération ;&nbsp;</li><li>Un Institut, véritable centre de connaissances qui proposera des programmes et conférences liés à la santé numérique ;</li><li>Un label de référence. &nbsp;</li></ul>A propos de be ysbe ys est un groupe international spécialisé dans l’identité numérique, les flux d’informations personnelles, le traitement et l’hébergement des données sensibles. Nous créons et assurons le suivi de solutions numériques dans le traitement de données sensibles sur des secteurs d’activité exigeants tels que la santé, la sécurité, les paiements, les droits, les transactions sensibles… Nos produits sont conçus selon un principe de sécurités by-design qui garantit le respect de toutes les exigences légales et réglementaires (telles que le RGPD). Leader national de la gouvernance des données, nous déployons ces solutions grâce à des technologies de pointe. &nbsp;

Future4care, premier accélérateur européen de startups en santé digitale, annonce l’arrivée de be ys comme premier partenaire adhérent

En à peine deux ans, le numérique a marqué une accélération, qui aurait certainement pris beaucoup plus de temps sans l’apparition de l’épidémie. Remontez quelques mois en arrière et rappelez-vous la façon dont vous accédiez à un médecin. La transformation est radicale pour les patients et les professionnels de santé, elle l'est encore plus pour les Etats.Publié le 20 décembre 2021 à 04h51A l’heure du bilan, l’Europe constate que l’étau s’est resserré davantage avec à l’est la Chine et à l’ouest les Etats-Unis. L’ère qui s’ouvre est initiée par ce duopole sinoaméricain mené par leurs fameux GAFAM et BATX.&nbsp;Cette situation géopolitique pose la question du renforcement de l’impact et de la souveraineté européenne&nbsp;Si l'épidémie a précipité cette mutation, elle a aussi accéléré les décisions européennes en faveur de la souveraineté numérique et sanitaire de l’UE. Pour aborder ce sujet avec sérieux, nous avons souhaité faire appel à une personne aussi avertie des sujets économiques que géopolitiques, liés à la santé, avec une affinité forte pour le numérique. C'est pourquoi nous avons échangé avec la Directrice des affaires publiques et gouvernementales de Sanofi, Clotilde Jolivet.<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/Capture_d_ecran_2024_07_31_191955_2b0977d707.png" alt="Capture d'écran 2024-07-31 191955.png" width="1215" height="715">Le numérique au cœur de la transformation de l’EuropeLa crise a fait prendre conscience, au plus grand nombre, de l’importance de se doter d’un bon niveau d’autonomie sur des produits essentiels et innovants, qu'il s’agisse de médicaments ou de technologies, enjeu que le secteur des industries de santé portait depuis des années. Dans les deux cas, le numérique occupe une place centrale, puisqu’il transforme l’ensemble de notre industrie. Cette quête c’est celle de la e-souveraineté sanitaire. La e-santé va prendre une place de plus en plus centrale dans l’offre de soin, comme dans l’organisation du système de santé. Offres, organisation et mise au point des traitements doivent être pensés à l’échelle Européenne, sous peine de ne pouvoir instaurer notre propre souveraineté.Cet objectif est vital, non seulement pour la production de biens, mais aussi pour la création de valeur à court, moyen et long terme. Il s’agit bien d’une reconquête, puisque nous avons trop rapidement laissé ce sujet entre les mains d’autres plaques géographiques. Le numérique n’est qu’à ses prémisses et pourrait bien être notre meilleur allié dans cette reconquête.Il nous faut passer rapidement de l’aspiration à l’opération, et s’organiser à l’échelle européenne avec une feuille de route claire et facilement déployable.La donnée de santé moteur de la e-souverainetéA l'ouest comme à l'est, l'idéologie est relativement différente de celle de l'Europe.&nbsp;L’Union Européenne, troisième puissance économique mondiale, peine pourtant encore à se positionner comme instigateur et fédérateur d’une e-santé européenne. Notamment, parce qu'il existe toujours d’importantes disparités entre les Etats membres.Le numérique est créateur de valeur et une opportunité de croissance économique, de création d’emplois et d’attraction des investisseurs comme des talents.Face à la tentation de se tourner vers les solutions émanant d'Amérique du Nord ou de Chine, l’Europe doit se donner les&nbsp;&nbsp;moyens de créer de vraies conditions pour un déploiement et une utilisation massive des données de santé, par les équipes de recherche, les startups et les industriels, et résoudre les défis de l'écosystème quant à l’utilisation de ces données&nbsp;: faciliter l’identification des sources et les mettre en commun, prévoir le stockage européen des données, instaurer l’interopérabilité, éviter la multiplicité des législations nationales, garantir la valorisation de ces données par les autorités de régulation et d’évaluation, …La protection des données est un autre exemple intéressant. L’Europe a été précurseur avec le RGPD, et a montré aux citoyens que la protection de leur données était importante. On a donc un cadre sécurisé pour développer l’innovation sur les données de santé et sur les solutions de santé. La Chine est en train de renforcer sa législation qui permet à l’Etat d’accéder à toutes les données&nbsp;&nbsp;générées sur son territoire, sous couvert de sécurité nationale,&nbsp;&nbsp;et ce sans aucune garantie de protection ni des données personnelles, ni de la propriété intellectuelle. L’Europe peut donc s’affirmer comme une région attractive et compétitive par rapport aux USA.Pour y parvenir les institutions européennes doivent notamment harmoniser les approches, et les mutualiser. C’est à dire lutter contre une vision hétérogène de ses 27 membres et ne pas reproduire les mêmes erreurs que celles des décennies passées pour les médicaments. L’Europe disposant de multiples approches propres à chaque pays, il est difficile, jusqu’ici, de produire et de diffuser à l’échelle,En 2022, si nous voulons être attractifs et performants, nous devons aider nos startups européennes à éviter un parcours du combattant pour l’évaluation et l’accès au marché, pour se développer rapidement sur notre marché, puis s’étendre et partir aux Etats-Unis ou ailleurs. Car la réalité actuelle c’est que certains de nos entrepreneurs les plus ambitieux songent en premier lieu au marché outre-Atlantique, avant même de s’imposer en Europe. Les levées de fonds sont plus faciles et rapides aux US aussi parce que le marché est unifié, et le lancement d’une solution de santé se fait de facto dans un marché vaste et harmonisé. Nous devons leur garantir un espace sécurisé, interopérable et harmonisé.A court terme l’Union européenne doit notamment opérer trois avancées :<ul><li>Proposer une réglementation harmonisée sur l’ensemble de l’espace Européen pour garantir un déploiement simplifié et sécurisé des données de santé, qui sont le domaine d’innovation par excellence des startups</li><li>Garantir des marchés européens pour favoriser l’éclosions puis l’industrialisation de nos futurs champions sur notre territoire en premier lieu, avant de s’exporter.</li><li>Interconnecter les dizaines d’initiatives européennes autour de la donnée, à l’image du Health Data Hub en France. Celles-ci, aussi brillantes soient-elles, n’auront à moyen terme qu’un intérêt limité sans interopérabilité. Du moins si nous souhaitons garantir un marché suffisamment grand et solide pour rivaliser avec l’Est et l’Ouest.</li></ul>Evaluer pour garantir une industrialisation fiable sur la duréeEvidemment aller vite et offrir un cadre clair et prévisible n’est qu’un atout court-termiste.&nbsp;En e-santé, plus qu’ailleurs, nous ne sommes pas sur un sprint, mais bien un marathon. Une challenge clé pour créer de la valeur en e-santé, est l’évaluation. Elle est indispensable pour garantir la sécurité et l’efficacité, que cela soit&nbsp;avec le marquage CE pour les dispositifs médicaux, et bien sûr essais cliniques pour les médicaments. Reste à trouver le bon modèle d’évaluation pour les produits et services de santé numérique.Cette logique doit évidemment rester exigeante pour le bien des patients, sans devenir contre-productive et elle doit être pensée à l’échelle européenne. Une startup e-santé doit pouvoir, une fois sa technologie validée, déployer rapidement et non frapper à 27 portes d’agence d’évaluation. Le travail de recherche et développement est déjà risqué, il faut donc faciliter au maximum les étapes d’évaluation, et soutenir nos entrepreneurs avant cette mise sur le marché.Cela ne veut pas dire qu’il faut rembourser tous les dispositifs et solutions, mais davantage formaliser et harmoniser les démarches et méthodologies, par exemple pour mesurer les impacts des solutions qui sont génératrices de gain d’efficience en santé. En bref, nous devons aller vers plus de co-construction et mettre en face des entrepreneurs de vraies ressources..&nbsp;Co-investir dans le risque, avec les entrepreneursLa reconquête numérique en santé en Europe est aussi question de multidisciplinarité. Le rapport entre le privé et le public, à l'échelle locale et encore plus à l'échelle européenne est perçu comme un rapport de force lié à des différences&nbsp;structurelles et culturelles. Pourtant ils sont interdépendants. Le rôle de la puissance publique&nbsp;est de faire en sorte que le cadre dans lequel nous évoluons est adapté. En parallèle les acteurs privés qu’ils s’agisse d’industriels, investisseurs ou entrepreneurs jouent un rôle d’initiateur. Les premiers ont besoins de solutions qui répondent aux problématiques rencontrées par les citoyens, les seconds de réglementations favorables et de capitaux pour penser et déployer celles-ci.Or, aujourd’hui il est difficile d’obtenir du financement quand il y a du risque (réglementaire, mais pas uniquement). C'est ce qui freine l’élévation de notre écosystème de startups. Ces dernières prennent des risques, c’est dans leur nature et nous en avons bien besoin pour innover. Le constat est le même pour les industriels.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Il y a toute une acculturation à penser autour de cette notion.Aujourd’hui, nous avons une logique centrée autour de la subvention (crédits impôts recherches, etc.), mais aucune logique de co-investissement dans le risque national et Européen. Aux USA, la crise a mis en lumière le rôle de l’agence BARDA qui a investi massivement dans la recherche de vaccins, mais qui existait bien avant la crise et dont le rôle est le co-financement du risque avec les entreprises privées, que cela soit sur la R&amp;D ou le déploiement industriel. Le co-financement du risque fait partie de ces axes forts qui permettront à l’Europe de trouver son identité et d’aboutir à une souveraineté sanitaire. Nous&nbsp;avons été capables de le faire en matière de défense, dans une logique régalienne, puisque la puissance publique ne se pose pas de question sur la vitalité de la défense. La création de la future agence HERA, et de son bras industriel Eu-FAB va dans le bon sens, il faut en accélérer la création et l’opérationnalité pour que des projets de startups ou de plus grandes entreprises soient boostés et ancrés en Europe.Tout est un lié au risque. Plus le risque est important, plus les entreprises qui en découlent seront importantes.Un cadre clair pour une prise de risque est ce qui nous distinguera des autres géographies et qui attirera davantage les talents capables de penser les solutions. Ces derniers doivent avoir confiance et s’assurer que la prise de risque est ancrée dans notre culture.&nbsp;Miser sur la multidisciplinaritéAu-delà de la prise de risque, la consolidation d’une vision unifiée sur la donnée de santé sera à n’en pas douter clé pour redevenir une géographie centrale. Tous les Etats de l’Union Européenne ne sont évidemment pas engagés de la même façon et au même rythme. Avancer ensemble, c’est accepter de faire avec la différence des autres. Avec la Présidence de l’UE du premier semestre 2022, la France peut porter des avancées dans le domaine des données de santé.<ul><li>Définir les règles du jeu et d'interopérabilité. C'est à dire se doter d’une structuration sécurisée, facile d'accès et créatrice de valeur.</li><li>Inclure le citoyen. L'aider à comprendre que l’enjeux n'est pas de tracer, mais bien de créer de la valeur pour lui, pour le soigner, au service du progrès, etc. Également de le rendre contributeur de ce nouveau système.</li><li>Aider les associations de patients. Ces acteurs incontournables ont compris, notamment pour les maladies rares, qu'il faut des registres, un suivi, pour gagner du temps et remporter la course contre la montre face à ces maladies.&nbsp;</li><li>Réduire les inégalités. Le partage de données va permettre de rationaliser notre système de soin et ainsi aider chaque citoyen à profiter d'un système personnalisé donc plus juste.</li><li>Prévenir les prochaines crises. La donnée garantira une résilience au système de santé, grâce notamment à ses promesses prédictives</li></ul>Ce qui est sûr, c’est que l’atteinte de ces objectifs ne se fera pas sans multidisciplinarité et prise de risque. Nous avons besoins d’institutions ouvertes, d’entrepreneurs ambitieux, d’industriels agiles et plus largement d’un écosystème résolument positif et au service d’une souveraineté à l’européenne.

Pour une e-Souveraineté sanitaire !

La raison d’être de Future4care est de garantir à ses entrepreneurs et ses membres, un accès à un réseau multidisciplinaire. C’est pourquoi nous avons à cœur de nous entourer et nouer des partenariats avec les pointures dans leur domaine. Aujourd’hui nous avons le plaisir d’annoncer que Digital Pharma Lab, accélérateur de solutions PharmaTech, rejoint l’écosystème Future4care.Publié le 17 décembre 2021 à 09h53Cet accélérateur&nbsp;de solutions&nbsp;PharmaTech&nbsp;rejoint Future4care,&nbsp;ainsi que les autres acteurs de l’écosystème,&nbsp;pour&nbsp;accélérer ensemble le progrès en santé numérique.&nbsp;Ce partenariat&nbsp;promet d’être palpitant et fédérateur.&nbsp;L’alliance de nos deux structures, s’inscrit&nbsp;dans une volonté d’être un levier nécessaire et compétent pour les entrepreneurs&nbsp;et industriels, mais également d’être un lien naturel entre toutes les parties prenantes qui composent notre système de santé si riche.&nbsp;En détail, quels sont les axes de ce partenariat ?&nbsp;Nul besoin de rappeler aujourd’hui notre conviction que le numérique en santé représente&nbsp;l’avenir de notre système. Pour cela, nous&nbsp;développons, chez Future4care, un programme d’accélération&nbsp;pour les&nbsp;startups qui ont déjà la vision, mais qui ont besoin des clés&nbsp;pour ouvrir les bonnes portes.&nbsp;Nous mettons également en place un institut pour accélérer l’acculturation et la transformation de grandes entreprises.&nbsp;Avec Digital&nbsp;Pharma Lab,&nbsp;nous sommes convaincus&nbsp;de la nécessité de&nbsp;sensibiliser avant même d’accompagner. C’est ce qui pousse notre partenaire à lancer&nbsp;avec L’Institut Mines-Télécom Business&nbsp;School, un&nbsp;executive&nbsp;master centré sur ‘l’innovation numérique en santé’.&nbsp;Il a tout naturellement été&nbsp;décidé&nbsp;que&nbsp;ce master sera&nbsp;hébergé&nbsp;au sein du campus de&nbsp;Future4care, dans le 13ème&nbsp;arrondissement&nbsp;de Paris.&nbsp;Par ailleurs, le système de santé, comme celui du numérique, sont des systèmes mouvants, continuellement en renouvellement. Il est essentiel que les acteurs de ce système&nbsp;puissent tirer parti de ces&nbsp;changements. C’est en ce sens que&nbsp;les&nbsp;membres&nbsp;de notre&nbsp;écosystème,&nbsp;participeront&nbsp;à des modules d’acculturation, proposés par les experts&nbsp;de Digital&nbsp;Pharma&nbsp;Lab&nbsp;et inversement.&nbsp;Les deux organisations&nbsp;rassemblent un nombre important d’experts compétents et influents. Il est important que tous les autres acteurs de ce système puissent bénéficier de telles connaissances et expertises. C’est&nbsp;pour cela que nous&nbsp;proposerons,&nbsp;conjointement,&nbsp;des&nbsp;masterclasses,&nbsp;des formations ainsi que des ateliers de travail, sur des thématiques particulières.&nbsp;Ce partenariat c’est aussi, et surtout,&nbsp;l’occasion pour les deux écosystèmes&nbsp;d’avancer dans un but commun : soutenir le&nbsp;développement des&nbsp;solutions&nbsp;de santé de demain.&nbsp;Des échanges, plus informels, entre nos deux communautés seront mis en place pour créer des rencontres, des synergies voire&nbsp;des collaborations. C’est pour cela que les équipes Digital Pharma&nbsp;Lab&nbsp;disposeront de bureaux au sein de&nbsp;notre campus, au plus près des startups, des industriels et de toutes les parties prenantes de Future4care.&nbsp;Retrouvez&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/yHHu6LQxzVw">ici</a>, l'interview complète de Pascal Becache, cofondateur et directeur du développement commercial de Digital Pharma Lab.

Digital Pharma Lab rejoint l’écosystème Future4care

Sur le terrain depuis de nombreuses années, au plus près des patients et professionnels de santé, notre Vice-Président, Olivier Guerin, nous partage son regard sur les enjeux actuels en #eSanté.Publié le 13 décembre 2021 à 08h52L'ensemble des acteurs du système de santé s’accordent à dire qu’il est temps de changer les choses.&nbsp; Il est l’heure d'initier un système davantage axé sur le préventif et sur le prédictif. Il est l’heure pour les professionnels d'être équipés et de mieux prévenir de nouvelles pandémies, l’heure pour les patients de trouver facilement un spécialiste quel que soit le contexte, l’heure d’être diagnostiqué plus tôt, plus vite. &nbsp; La récente pandémie a révélé les failles d’un système de santé, autrefois avant-gardiste, mais aujourd’hui en panne de transformation.&nbsp; Pourtant, ce système est composé d’acteurs forts, de professionnels experts et dévoués, d’organisations publiques et privées investies. Parallèlement, il existe des leviers puissants, qui, utilisés de la bonne manière, peuvent accompagner ces acteurs dans cette transformation.&nbsp; Parmi ces leviers, le numérique évidemment et tous les outils qui en découlent.&nbsp;Le professeur Olivier Guérin, membre du conseil scientifique du Président de la République et Vice-Président de Future4care, nous partage sa vision sur ces évolutions en cours et nous explique de quelle manière il est possible d’initier ce changement, grâce au numérique.&nbsp;<img src="https://f4c-strapi.s3.gra.io.cloud.ovh.net/Capture_d_ecran_2024_07_31_193341_c7c6a0d77f.png" alt="Capture d'écran 2024-07-31 193341.png" width="859" height="633">N°1&nbsp;-&nbsp;&nbsp;Zoom sur le&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/FJLBqEvAYhA">patient</a>, acteur au cœur du système.&nbsp;Pour Olivier Guérin, en santé,&nbsp;le patient est de fait la clé de voûte de sa&nbsp;propre&nbsp;prise en charge.&nbsp;&nbsp; En e-santé, c'est d'autant plus important qu'il doit être non seulement d'accord sur les dispositifs, puisqu'il y a toujours du partage d'informations, mais acteur de son propre dispositif, dans son autonomie et sa façon dont il considère sa santé et qu’il partage ses données de santé avec l'ensemble des professionnels du secteur.&nbsp;C’est essentiel que le patient, comme le professionnel de santé, ait conscience qu’il faut avancer dans une logique à la fois de&nbsp;co-construction&nbsp;et d'innovation.&nbsp;C’est pour cela que l'ensemble des acteurs du système de santé doivent montrer&nbsp;aux patients&nbsp;ce qu'il est possible de faire aujourd'hui,&nbsp;grâce aux outils du&nbsp;numérique&nbsp;et&nbsp;ainsi les accompagner dans les usages.&nbsp;Ainsi, il est important de rappeler pourquoi le numérique va améliorer l'expérience du patient.&nbsp;Ces données sont&nbsp;la clé pour un traitement plus efficace, plus personnalisé, à condition que le patient garde la maîtrise sur les siennes.&nbsp;C'est pour cela&nbsp;qu’il doit&nbsp;prendre conscience que cette donnée de santé, lui appartient. La capacité qu'il aura ensuite à partager ses données, à comprendre comment est structuré&nbsp;son parcours grâce à l'aide des outils numériques, lui confèrera plus de confort.&nbsp; Par ailleurs, les professionnels de santé sont&nbsp;là pour l'épauler, le conseiller. Et&nbsp;c’est d’autant plus facile quand&nbsp;des outils numériques sont à leur service pour&nbsp;simplifier&nbsp;cet accompagnement.&nbsp;Cela étant dit, il reste malgré tout un sujet important à évoquer, celui de rendre la e-santé inclusive.&nbsp;En effet,&nbsp;l'état de santé a plutôt tendance à se détériorer, notamment avec l'avancée en âge qui est un facteur de risque, notamment des maladies chroniques. Et c'est auprès de cette cible, plus vulnérable, que les efforts doivent se porter pour que l'on puisse aider aussi.&nbsp;Il est essentiel&nbsp;d’intensifier ces éléments de formation, d'adoption, de diffusion vers ces populations plus vulnérables, des outils qui leur sont nécessaires pour la gestion de leur bonne santé.&nbsp;Et c'est&nbsp;la mission des professionnels de santé,&nbsp;de démocratiser ces dispositifs,&nbsp;d’expliquer,&nbsp;d’informer et former les patients eux-mêmes à l'utilisation de ces&nbsp;outils&nbsp;utiles pour eux.&nbsp;N°2 Les&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/N2TVUbOlyU0">professionnels&nbsp;de santé</a>,&nbsp;eux aussi, doivent&nbsp;passer le cap et s’engager avec le numérique&nbsp;Un système de santé sans les professionnels, ça n'existe évidemment pas.&nbsp;Dans le système que&nbsp;nous connaissons actuellement, le médecin&nbsp;traitant&nbsp;est une clé de voûte puisque c'est lui qui est l'intégrateur de l'ensemble des données de santé pour son patient.&nbsp;Cependant,&nbsp;nous nous apercevons&nbsp;avec le temps, avec le changement aussi des besoins de santé publique, que c'est une succession d'acteurs du système de santé qui sont efficaces pour le malade.&nbsp;Ainsi, les&nbsp;acteurs du système de santé au sens large sont évidemment les professionnels qui doivent agir, mais qui doivent agir de manière coordonnée.&nbsp;Quoi&nbsp;de mieux pour coordonner que, notamment, des solutions et des produits&nbsp;numériques&nbsp;qui permettent cet exercice si spécifique du parcours patient et de sa coordination.&nbsp;Cependant,&nbsp;les outils numériques par les médecins, et notamment les médecins généralistes, sont considérés à l'heure actuelle comme des gadgets. Pourquoi&nbsp;?&nbsp;Parce que le système de santé français s'est construit sur la succession d'actes thérapeutiques.&nbsp; C'est&nbsp;d’ailleurs&nbsp;pour&nbsp;cela que l’on&nbsp;paie&nbsp;la consultation.&nbsp;Mais, les besoins de santé publique ont changé, notamment avec la chronicisation des maladies,&nbsp;nous avons donc&nbsp;besoin de changer aussi la vision que nous avons, nous, professionnels de santé, sur le service que l’on doit rendre aux patients. Et&nbsp;cela&nbsp;nous oblige&nbsp;à travailler différemment et pour&nbsp;celat&nbsp;nous avons&nbsp;besoin d'outils différents et c'est là tout le sens de l'innovation&nbsp;numérique&nbsp;finalement.&nbsp;Toutes ces données dont&nbsp;nous avons&nbsp;besoin,&nbsp;nous devons&nbsp;être en capacité de les analyser, ou en tout cas d'avoir les outils qui nous permettent d'en tirer des signaux pour être en permanence en&nbsp;vigilance.&nbsp;Cela permettra d'éviter ce qu'on appelle&nbsp;les décompensations&nbsp;des maladies chroniques,&nbsp;qui sont à l'origine de la dégradation&nbsp;de l'état de santé de nos concitoyens,&nbsp;lorsque le traitement n'est pas à la hauteur. Finalement, c'est une grande chance, mais&nbsp;cela&nbsp;modifie encore une fois et avant tout notre vision et nos pratiques.&nbsp;Les outils&nbsp;numériques&nbsp;en santé font peur, ou génèrent de l'anxiété, auprès des professionnels de santé, tout simplement&nbsp;parce que cela nous oblige à travailler différemment.&nbsp;Cependant, nous avons choisi&nbsp;nos métiers parce&nbsp;que nous voulons&nbsp;le meilleur pour nos malades.&nbsp;Cette conviction&nbsp;est partagée&nbsp;par tous les professionnels de santé.&nbsp;&nbsp;C'est à nous,&nbsp;professionnels, de nous saisir des sujets d'organisation et d'aller dire à nos tutelles :&nbsp;“Finalement, le modèle dans lequel vous nous mettez, ces histoires d'actes ponctuels de consultation payées les unes derrière les autres, par exemple,&nbsp;cela&nbsp;ne nous convient pas.&nbsp;Cela&nbsp;ne nous convient pas, parce que ça nous oblige à ne pas faire correctement notre métier. Et ça, pour nous, c'est insupportable.”&nbsp;Fondamentalement,&nbsp;quand un outil nous permet de faire mieux,&nbsp;nous&nbsp;finissons&nbsp;finalement&nbsp;à l'adopter.&nbsp;&nbsp;N°3&nbsp;Le numérique pour unir&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://youtu.be/oLc211kc53U">acteurs privés et publiques&nbsp;</a>L’écosystème de santé&nbsp;est&nbsp;assez complexe puisqu'il&nbsp;comprend&nbsp;les professionnels de santé, mais aussi&nbsp;et c'est tout le sujet de Future4care, des industriels capables de nous amener des solutions nouvelles.&nbsp;&nbsp; N’oublions pas non&nbsp;plus d’autres acteurs,&nbsp;trop souvent dans l’ombre, qui sont les collectivités territoriales. Notamment les&nbsp;mairies,&nbsp;les&nbsp;départements&nbsp;et&nbsp;les&nbsp;régions. Acteurs&nbsp;incontournables&nbsp;sur les compétences de développement économique&nbsp;et&nbsp;notamment sur les sujets de prévention.&nbsp;&nbsp; Il&nbsp;existe&nbsp;aussi&nbsp;une spécificité française. Ce sont les associations&nbsp;de patients.&nbsp;Des acteurs essentiels à&nbsp;intégrer&nbsp;dans cet écosystème,&nbsp;parce qu'ils ont&nbsp;des&nbsp;connaissances&nbsp;extrêmement&nbsp;fines&nbsp;dont&nbsp;nous&nbsp;avons&nbsp;besoin.&nbsp;Générer de l'innovation sans eux&nbsp;est quasiment impossible.&nbsp;&nbsp;Cela étant dit, nul&nbsp;n’est sans savoir qu’il existe une&nbsp;opposition française ancienne,&nbsp;entre ces acteurs privés et ceux du publique.&nbsp;&nbsp;La présence d’un professeur et médecin comme&nbsp;Vice-Président&nbsp;de Future4care n’est pas&nbsp;anodine.&nbsp;C'est&nbsp;aussi pour faire ce lien&nbsp;entre ces deux typologies d’acteurs, qu'ils&nbsp;soient&nbsp;dans le soin ou&nbsp;dans l'industrie.&nbsp;&nbsp; Ce rapprochement a,&nbsp;tout simplement,&nbsp;pour finalité de&nbsp;rendre service aux malades.&nbsp;A partir&nbsp;du moment où cet objectif&nbsp;est&nbsp;partagé, il n'y a plus de frontière entre le privé et le public, pour peu que l’on&nbsp;mette les gardes fous nécessaires,&nbsp;à la fois de respect du patient,&nbsp;de respect de son&nbsp;secret et enfin de respect de sa personne et de son autonomie. Il faut que nous soyons&nbsp;tous au rendez-vous.C'est comme&nbsp;cela que&nbsp;nous&nbsp;serons&nbsp;à la hauteur&nbsp;pour nos concitoyens et pour nous-mêmes, futurs malades potentiels.&nbsp;Cependant, il est évident qu’il y a une fragmentation, due à cette opposition ancestrale.&nbsp; Cette fragmentation, dans le système de santé, qui fait si peur,&nbsp;est interne à ce&nbsp;que l’on&nbsp;appelle traditionnellement la santé.&nbsp;Mais elle est aussi&nbsp;accompagnée de&nbsp;deux autres axes.&nbsp; L'OMS le dit,&nbsp;la santé est&nbsp;médico psycho sociale. L’axe sanitaire tel qu'on l'entend, c'est le médico. Mais il y a aussi le psycho.&nbsp; Nous le vivons&nbsp;avec le Covid,&nbsp;nous l’avons vécu avec des drames de masse,&nbsp;à l'image des attentats&nbsp;de 2015&nbsp;sur notre territoire.&nbsp;&nbsp; Enfin, l’axe social. La santé n'est pas décorrélée de notre environnement social, de notre insertion dans la société et notamment pour les plus précaires, les plus vulnérables d'entre nous. C'est pour eux qu'il faut faire le plus de lien et pour lequel les outils numériques sont aussi les plus utiles.&nbsp;Cette fragmentation&nbsp;est&nbsp;donc&nbsp;multiple. Ensemble, faisons le pari de le faire,&nbsp;de façon coordonnée, pour prouver que nous sommes de bonne volonté. Ce sont les outils numériques, qui nous aideront à y parvenir, car ce sont les meilleurs leviers de défragmentation du système de santé,&nbsp;encore une fois,&nbsp;à condition que leur genèse, cette&nbsp;co-conception&nbsp;de l'innovation, soit déjà partagée par les patients, par les professionnels de santé, avec les industriels qui nous amènent les solutions.&nbsp;&nbsp;Quel rôle pour Future4care ?&nbsp;Les&nbsp;patients&nbsp;sont&nbsp;au cœur du dispositif,&nbsp;il&nbsp;ne peut&nbsp;pas y avoir d'innovation sans&nbsp;co-conception&nbsp;avec eux, puisque ces innovations, ils vont les utiliser pour leur propre santé.&nbsp;&nbsp; Cette co-construction, c'est l'ADN de Future4care C’est lorsque tout le monde sera d'accord et rassemblé que nous arriverons à implanter ces nouvelles solutions qui sont avant tout destinées aux malades, aux patients et à tous les citoyens qui veulent préserver leur santé tout au long de leur vie.&nbsp;&nbsp; Pour ce faire, nous comptons associer dès le début, les professionnels de santé aux côtés de la communauté des patients. Le tout, avec au centre, celles et ceux qui sont capables d'amener des solutions, c'est à dire les entrepreneurs. Ils sont là pour nous amener leur intelligence créative et leur capacité de trouver des solutions à nos questions, à nous, professionnels de santé, comme aux questions de nos patients.

Le système de santé, un écosystème riche et complexe.

22 startups intègrent la première promotion de Future4care

Future4care, le premier accélérateur européen de startups dans le domaine de la santé numérique, s'associe à Galen Growth, le seul spécialiste de l'innovation dans le domaine de la santé numérique, qui réunit les startups les plus performantes du monde avec des organisations de premier plan, afin d'accélérer l'innovation axée sur les clients, les patients et les professionnels de la santé.Publié le 02 décembre 2021 à 10h16Soutenu par une équipe d'experts expérimentés, Galen Growth s'engage à assurer le succès de Future4Care, de ses entreprises et de ses partenaires, afin de construire et de développer ensemble l'écosystème européen de la santé numérique.Au cours des six dernières années, Galen Growth a établi le plus grand réseau mondial d'investisseurs, d'entreprises et de startups dans le domaine de la santé numérique. Galen Growth a permis à de nombreux programmes de capital-risque d'entreprise de bénéficier de solutions uniques, notamment HealthTech Alpha, la plateforme à la demande de données et d'analyses du marché privé de la santé numérique la plus importante au monde. Galen Growth a procuré à ses partenaires un avantage décisif - produits pharmaceutiques, dispositifs médicaux, assureurs et fonds d'investissement - grâce à des études sur mesure visant à stimuler leurs engagements axés sur la santé numérique dans le monde entier.Galen Growth est reconnu sur le marché mondial pour ses publications de leadership intellectuel très recherchées et ses événements sur mesure, dont le plus qualitatif Global HealthTech Summit.Galen Growth, avec son équipe d'experts européens, aidera les partenaires de Future4Care, son accélérateur grâce à des données inégalées permettant d'identifier et de suivre rapidement les partenariats les mieux adaptés ; en fournissant à son institut la meilleure recherche thématique du secteur en matière de santé numérique pour prendre des décisions gagnantes et en co-organisant des événements très pertinents pour atteindre et construire une communauté mondiale plus large."&nbsp;L'écosystème de la santé numérique en Europe de l'Ouest est robuste avec près de 2 000 entreprises, en croissance à un TCAC de ~9% depuis 2016. Cet écosystème a attiré plus de 11 milliards de dollars US de financement en capital-risque, mais a le potentiel pour beaucoup plus avec les bons catalyseurs. Nous pensons que le partenariat de Galen Growth avec Future4Care sera ce catalyseur&nbsp;!" Julien de Salaberry, PDG et fondateur de Galen Growth, a déclaré."Les données sont au centre de la valeur ajoutée que nous apportons aux startups chez Future4care. Le partenariat avec Galen Growth n'est pas seulement un plus pour développer l'écosystème que nous construisons mais prouve également notre capacité à apporter, aux startups, la meilleure expertise possible afin d'accélérer l'étape de mise sur le marché grâce à des approches personnalisées et sur mesure. Je suis ravie de travailler avec Galen Growth pour que les progrès de la santé numérique deviennent très vite une réalité", a déclaré Agnès De Leersnyder, CEO de Future4care.&nbsp;Plus d'informations sur&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="http://www.future4care.com">www.future4care.com</a>&nbsp;et&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://www.galengrowth.com">https://www.galengrowth.com</a>

Future4care s'associe à Galen Growth pour accélérer l'innovation numérique en santé en Europe.

Laurent Frigara, co-fondateur d'Enovacom, nous présente sa vision et ses conseils pour tirer pleinement parti de la donnée numérique dans le monde de la santé.Publié le 25 novembre 2021 à 09h17La donnée, clé de voûte de la e-santé !&nbsp;C’est un fait incontestable. L’exploitation des gisements de données de santé va révolutionner la façon dont nous prenons en charge les patients. C’est la base de la médecine numérique appelée « des 5P », plus personnalisée,&nbsp;préventive,&nbsp;prédictive, participative, et de preuve.&nbsp;&nbsp;Plutôt que d’argumenter sur le potentiel, que vous avez tous déjà clairement identifié, l’idée ici est de comprendre comment passer de l’intuition à l’action. Pour ce faire, nous avons échangé avec un spécialiste du sujet.&nbsp;&nbsp;Laurent Frigara, co-fondateur d’Enovacom, leader français de l’interopérabilité médicale et soutien de la première heure du développement de Future4care.&nbsp;En charge du pôle santé d’Orange Business Services, Enovacom compte aujourd’hui plus de 250 experts engagés dans la santé.&nbsp;Il nous parle, dans les lignes qui suivent, de culture du partage, d’interopérabilité et de méthodologie.&nbsp;Un peu de contexte&nbsp;Aujourd’hui, le professionnel de santé attend la bonne donnée au bon moment, pour le bon patient. C’est sur ce fondement que résulte toute la chaîne de décision médicale. Que ce soient des résultats d’examens, des constantes vitales issues d’appareils biomédicaux et capteurs,&nbsp; de l’historique des prescriptions ou encore d’épisodes de santé, le partage de ces informations est essentiel. Ce partage assure une meilleure prise en charge du patient et une meilleure coordination des soins, tout en évitant la redondance d’examens déjà réalisés.&nbsp;&nbsp;&nbsp;L’enjeu est aussi d’exploiter les données de santé de manière consolidée et en très grande quantité. Par exemple, l’utilisation des données de grandes cohortes de patients, ayant des caractéristiques communes, nous ouvre des perspectives intéressantes et des avancées prometteuses pour les soins de santé et la recherche médicale. Nous sommes en mesure de détecter au plus tôt l’émergence de certaines maladies, d’accélérer les diagnostics, et d’évaluer avec plus de précisions les effets d’un traitement médical.&nbsp;La donnée est aussi la matière première pour l’apprentissage des IA. La qualité et la performance d’une IA est directement liée à la quantité et la qualité des données utilisées.&nbsp;&nbsp;A l’échelle d’un établissement, la bonne exploitation des données issues de son SI lui permet d’optimiser son fonctionnement, et ainsi d’améliorer la prise en charge en adaptant les processus grâce à des éléments concrets.&nbsp;&nbsp;Proportionnellement, au niveau d’un territoire, la consolidation de données est davantage&nbsp; importante. Elle permet d’adapter la politique de santé, ou encore, comme nous avons pu le voir pendant la crise sanitaire, de lutter efficacement contre une pandémie.&nbsp;&nbsp;Parallèlement, nul ne nie que les données de santé sont aussi convoitées pour des desseins moins vertueux. Elles sont tellement précises et personnelles qu'elles peuvent, par exemple, facilement permettre l'usurpation d'identité. Elles s’échangent à prix d’or sur le dark web, ou peuvent aussi être utilisées contre des structures de santé pour obtenir le paiement de rançons.&nbsp;&nbsp;Partant de ce constat, nous avons voulu vous partager, cinq enseignements incontournables pour réussir la transformation numérique de son entreprise, institution ou autres structures de soins, avec au cœur une stratégie de données efficace, fiable et au service du soin.&nbsp;N°1 Faire avec les contraintes du marché&nbsp;Plus qu’ailleurs, le secteur de la santé fait face à des contraintes multiples, que ce soit d’un point de vue organisationnel, réglementaire ou économique. Les établissements de santé qui produisent et gèrent une grande quantité de données n’ont aujourd’hui pas des systèmes d’informations adaptés et leur mutation s’opère lentement. La plupart sont, en effet, composés de plusieurs couches applicatives de génération différentes, d’il y a dix, quinze, voire vingt ans. Dans ces conditions, le partage des données est beaucoup plus difficile.&nbsp;&nbsp;Historiquement, le médecin français a rarement été enclin à partager les informations de ses patients. Cette culture de la donnée sensible, anonyme et exclusive enferme des données exploitables dans des silos d’information qui ne sont pas un terrain propice à l’échange et au partage.&nbsp;&nbsp;&nbsp;De plus, c’est le patient qui est propriétaire de ses données. Lorsqu’il donne son consentement pour une exploitation de ses informations personnelles, il le donne dans un certain cadre d’utilisation, ce qui parfois peut freiner l’utilisation ou la consolidation de bases existantes.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Pour y remédier, il faut donc que les acteurs de la santé travaillent sur les systèmes d’information, pour les rendre interopérables, normés, en s’appuyant sur des référentiels communs. Pour assurer une exploitation optimale des données de santé, il faut s’assurer qu’elles soient bien collectées, structurées et suffisamment qualitatives. Il est aussi nécessaire d’adapter les process qui intègrent le consentement du patient, afin d’obtenir une vision claire sur la provenance des données et comment elles vont être utilisées.&nbsp;&nbsp;N°2 Apprendre à se structurer et à communiquer&nbsp;Il faut créer les conditions optimales à ces échanges, que ce soit la sécurité, la confiance, ou la capacité à partager des référentiels pour mieux se comprendre. Il est donc nécessaire de mettre en place un socle technique, normalisé, commun, compris, intégré et partagé à et par tous les acteurs. Enovacom œuvre dans ce domaine depuis 20 ans, et c’est aussi l’une des missions de l’Agence Nationale de Santé, qui à travers les aides financières du Ségur de la Santé accélère cette harmonisation. Cet élan régalien volontariste est une opportunité, pour que les systèmes d’informations de l’intégralité des structures de santé s’appuient sur les mêmes référentiels.&nbsp;&nbsp;Les solutions numériques des différents acteurs doivent communiquer entre elles, si ce n’est de façon native, grâce à des services dédiés complémentaires. Ce qui leur permettra en outre d’exploiter les données structurées, contenues dans les documents de santé, pour offrir aux utilisateurs encore plus de pertinence.&nbsp;&nbsp;Or, les éditeurs historiques de l’écosystème ne rendent pas facilement accessibles leurs bases de données souvent propriétaires. Des services d’interopérabilité, sur site ou dans le cloud, en se positionnant de manière agnostique permettent de casser ces silos.&nbsp;&nbsp;Pour l’évolution de leur SI, les établissements doivent dès à présent s'assurer que les futurs appareils, applications, logiciels de santé soient par nature interopérables et permettent d’exploiter les données qu’ils produisent. C’est-à-dire que les données de santé, que vont générer ces nouveaux éléments de l’écosystème santé, doivent être stockées dans des entrepôts de données structurés, qui s’appuient sur des référentiels communs. Tout le monde doit parler le même langage pour valoriser et exploiter les données récoltées.&nbsp;&nbsp;N°3 Faire preuve de méthodologie&nbsp;Savoir jongler avec les contraintes du marché et initier une démarche ouverte ne suffisent malheureusement pas. Il faut prendre beaucoup de précautions à toutes les étapes du voyage de la donnée pour éviter que celle-ci ne perde de sa valeur. Si une seule des étapes est mal réalisée, la donnée n’est plus qualifiée et donc inutilisable. Il faut donc être méticuleux, depuis la saisie dans le logiciel de production de soins, ou de l’échantillonnage des données vitales issues des appareils biomédicaux, jusqu’au stockage dans une base de données adaptée.&nbsp;&nbsp;Cela passe donc par la mise à disposition des soignants de logiciels ergonomiques et nativement conçus pour conserver une donnée qui sera exploitable. La formation aux outils est aussi impérative pour s’assurer de la qualité des informations saisies.&nbsp;&nbsp;Au-delà de la syntaxe des données qui doit être normalisée pour le partage et la consolidation, il est important aussi de travailler sur l’aspect sémantique. Dans le premier cas, cela concerne la définition du message : la nature, le type, le format pour que cela soit compris par tous.&nbsp;La sémantique concerne le contenu médical de ces données et demande de partager des référentiels d’interopérabilité sémantique.&nbsp;&nbsp;La « Systematized Nomenclature of Medicine - Clinical Terms » (SNOMED CT) apparaît comme&nbsp; une&nbsp; terminologie&nbsp; clé&nbsp; pour&nbsp; répondre&nbsp; à&nbsp; ces&nbsp; enjeux.&nbsp; Il&nbsp; s’agit&nbsp; d’une&nbsp; terminologie descriptive&nbsp; internationale&nbsp; qui&nbsp; couvre&nbsp; le&nbsp; plus&nbsp; large&nbsp; éventail&nbsp; de&nbsp; spécialités&nbsp; cliniques&nbsp; et&nbsp; de&nbsp; besoins opérationnels.&nbsp; Elle permet de&nbsp; standardiser&nbsp; la&nbsp; capture,&nbsp; la&nbsp; classification&nbsp; et&nbsp; le&nbsp; partage&nbsp; de&nbsp; n’importe quelle information clinique par les professionnels de santé.&nbsp;&nbsp;Des outils de contrôle qualité de la donnée existent aussi, afin d’assurer que les données échangées respectent ces différents standards et référentiels. À l’image du travail que réalise Enovacom dans le projet SI-DEP où ses solutions analysent et contrôlent la structure et la sémantique des données transmises par les laboratoires d’analyses.&nbsp;&nbsp;N°4 Généraliser l’interopérabilité&nbsp;On ne peut pas parler de santé numérique, sans s’attarder sur la question de l’interopérabilité. Elle concerne la capacité qu’ont les différents systèmes, applications ou services numériques de communiquer ensemble et d’interagir. Elle permet notamment de partager les informations du patient tout au long de son parcours. L’interopérabilité facilite aussi l’intégration de solutions ou services innovants dans un établissement ou un écosystème existant. Au final, cela permet de sécuriser le processus de soins, simplifier les démarches pour le patient, améliorer la pertinence des décisions médicales ou encore&nbsp;d’assurer une prévention plus efficace, etc.&nbsp;Les nombreuses solutions numériques utilisées par les professionnels de santé doivent être,non seulement interopérables entre elles, mais aussi avec les services régaliens tels que le Dossier Médical Personnel, l’Espace numérique de Santé, les plateformes régionales, ou encore les entrepôts de données tels que Health Data Hub.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Pour l’exploitation des gisements de données de santé, l’interopérabilité est aussi un facteur clé. Elle permet l’extraction ou la consolidation de ces données depuis les systèmes existants pour alimenter les entrepôts, ainsi que le partage des référentiels pour s’assurer que tout le monde parle bien le même langage.&nbsp;&nbsp;N°5 La donnée au cœur du modèle proposé par Future4care&nbsp;Il est important que les acteurs de l’écosystème se fassent accompagner par des spécialistes pour collecter, stocker et exploiter la donnée de santé.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Future4care s’est donné comme ambition d’accompagner les startups pour accélérer la mise sur le marché de leurs solutions innovantes.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Au-delà de la mise à disposition de données exclusives et qualifiées, Future4care accompagne ces jeunes pousses européennes tout au long du cycle de vie de leur solution. Nous leur proposons de se concentrer sur leur valeur ajoutée première ou sur leur différentiateur, car elles n’ont souvent pas beaucoup de temps pour percer et la concurrence est rude. Grâce à Future4care, elles peuvent s’appuyer sur les meilleurs experts pour tous les sujets liés aux infrastructures, la sécurité, la réglementation ou sur les outils d’exploitation de la donnée. Ses adhérents, à commencer par trois de ces historiques Orange, Sanofi et Generali, proposeront leurs propres compétences, mais d’autres experts seront amenés à intervenir sur le sujet.&nbsp;&nbsp;Future4care pourra par ailleurs accompagner les startups dans le développement de leurs solutions, pour qu’elles s’appuient sur des standards et des infrastructures qui les rendront pérennes. Nous faciliterons aussi l’intégration de leurs applications ou services dans l’écosystème existant grâce à l’expertise en interopérabilité de nos membres.&nbsp;&nbsp;&nbsp;Enfin, nous accompagnons les startups dans l’utilisation des données mises à leur disposition par Orange, Sanofi, Generali, Capgemini et nos prochains adhérents. Cela pour garantir une exploitation optimale, mais aussi pour s’assurer qu’elles le font dans le respect du droit du patient et de l’éthique.&nbsp;&nbsp;Vous êtes une startup et souhaitez bénéficiez de cet accompagnement ? Vous êtes un grand groupe et adhérez à notre vision ? Enfin, vous êtes un centre de soin, une association de patients ou un académique et souhaitez innover à nos côtés ? Ecrivez-nous en réponse à cet email et prenons le temps d’échanger.&nbsp;

La donnée, clé de voûte de la e-santé !

Nous sommes ravis d'accueillir officiellement notre Vice-Président, Olivier Guérin.Publié le 30 septembre 2021 à 08h44COMMUNIQUE DE PRESSE&nbsp;Septembre 2021&nbsp;Future4care, premier accélérateur européen de startups en santé digitale,&nbsp;&nbsp;nomme le Professeur Olivier Guérin&nbsp;comme Vice-Président.&nbsp;Paris, le 30 septembre 2021 - Future4Care accueille en qualité Vice-Président, Olivier Guérin, Professeur de Gériatrie. En collaboration avec l’équipe opérationnelle de Future4Care, Olivier Guérin a pour ambition d’accompagner le développement de cet écosystème européen de santé numérique.&nbsp;&nbsp;Chef du pôle de&nbsp;Gériatrie&nbsp;du CHU de Nice, Olivier Guérin est aussi professeur des Universités. Il développe avec ses équipes, la thématique numérique pour la Santé et l’Autonomie avec la création de plateformes d’évaluation et d’expérimentation regroupées au sein du centre d’Innovation et d’Usages en Santé. Il mène une action nationale dans ce contexte numérique et&nbsp;silver&nbsp;eco&nbsp;au sein de France&nbsp;Silver&nbsp;Eco (FSE) dont il est 1er vice-président.&nbsp;De 2014 à 2020, il est l’adjoint au maire de Nice, délégué à la Santé, à l’autonomie et à la&nbsp;silver&nbsp;économie, et conseiller métropolitain.&nbsp;Olivier Guerin est également&nbsp;président de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie, société savante&nbsp;spécialisée dans l'étude des problèmes touchant les personnes âgées et le vieillissement.&nbsp;De plus, Olivier Guérin est membre du Conseil Scientifique chargé d'éclairer les décisions du gouvernement sur la crise du Covid-19.&nbsp;&nbsp;La combinaison singulière de ses expériences dans la santé, le milieu académique, le numérique et les politiques publiques lui permettent de pleinement saisir l’ensemble des enjeux de la e-santé.&nbsp;Je suis ravi d’accueillir&nbsp;Olivier Guerin&nbsp;au sein de notre équipe. Je suis convaincu qu’il contribuera très fortement&nbsp;au développement et à la notoriété de Future4care, par son expertise et sa vision prospective du secteur de la e-santé. Son ancrage public et sa connaissance du privé sont&nbsp;par ailleurs pour nous&nbsp;des atouts indispensables pour défragmenter le secteur et favoriser&nbsp;l'émergence&nbsp;et le développement&nbsp;d'un écosystème multidisciplinaire. En tant que Vice-Président de Future4Care, Olivier Guerin a pour rôle avec l’équipe de définir les thèmes&nbsp;des appels à projets, de repérer et d’accompagner les startups grâce à sa proximité des milieux hospitaliers et académiques&nbsp;et&nbsp;son&nbsp;ancrage dans l’écosystème&nbsp;et&nbsp;de représenter Future4care dans les grands événements liés à la santé et à la santé numérique.&nbsp;Affirme le président de Future4care Philippe Peyre.&nbsp;Olivier Guérin mettra également son savoir-faire et son réseau au service de l’Institut de Future4care, qui proposera à ses adhérents un cycle de conférences, des formations et des travaux à travers son propre&nbsp;Think&nbsp;Tank.&nbsp;Olivier Guérin s'exprime sur sa nomination, retrouvez-le&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="https://twitter.com/Future4care/status/1443466505514061827">ici.</a>Plus d’informations sur :&nbsp;<a target="_blank" rel="" href="http://www.future4care.com">www.future4care.com</a><a target="_blank" rel="" href="http://www.future4care.com/">&nbsp;</a>

Le professeur Olivier Guérin nommé vice-président de Future4care

Un grand pas pour Future4care...Publié le 20 septembre 2021 à 09h01&nbsp;Il y a quelques&nbsp;mois, Future4Care&nbsp;annonçait&nbsp;sa création et son entrée sur&nbsp;le&nbsp;marché&nbsp;européen&nbsp;de la e-santé. Le 22 septembre 2021, une nouvelle étape sera franchie avec le lancement du premier appel à projets de notre accélérateur de startups. Un temps fort qui aura lieu à l'occasion de France Digital Day,&nbsp;​ La plus grande piste de rencontres d'affaires de France entre startups,&nbsp; financeurs et industriels.Depuis le musée des Art Forains, à Paris, nous aurons le plaisir de lancer ce premier appel à projet centré autour de deux thématiques : la médecine personnalisée et la médecine à distance. Suivra une session de rencontre avec une sélection d'entrepreneurs de la e-santé issus du réseau France Digital.&nbsp;Qu'est-ce que France Digital ?France Digital est une association composée de 1800 entrepreneurs et investisseurs du numérique français et européen. Son&nbsp;board est composé d'investisseurs et entrepreneurs reconnus comme Benoist Grossmann du fonds Eurazeo, Frédéric Mazzella, &nbsp;fondateur de Blablacar, Jean-David Chamboredon du fonds &nbsp;ISAI, mais aussi Fleur Pellerin, Axel Dauchez et de nombreux autres acteurs.​L'organisation anime notamment France Digital Day, l'un des événements de startups les plus exclusifs d'Europe. Chaque édition réunit quelques 3 000 dirigeants de startups, c-level d'industriels, de capital-risque, des leaders d'opinion et décideurs de la scène tech mondiale issus de plus de 40 nationalités, mais aussi 400 VCs.​ ​&nbsp;Comment candidater à l'appel à projets de Future4Care ?Pour rejoindre la première promotion de notre accélérateur de startups e-santé vous devez répondre aux quatre critères suivants.&nbsp;Tout d'abord votre entreprise doit se situer à un niveau intermédiaire de développement proche du « go to market ». Ensuite,&nbsp;votre activité doit répondre à l’une des deux thématiques autour desquelles se concentre la première promotion de notre accélérateur. A savoir la médecine personnalisée et la prise en charge du patient à distance. A noter que&nbsp;le siège social de votre entreprise doit être basé en Europe. Enfin,&nbsp;vous devez pouvoir justifier que vous consacrez 100% de votre temps à ce projet et que vous comptez en faire votre priorité pour les prochaines années.

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